Capture @Défimedia Group
Des petites bombes ont explosé : «J’ai refusé d’autoriser un 'third party' étranger à installer des équipements au MT pour contrôler et avoir accès au trafic Internet du pays» a affirmé Sherry Singh ce jeudi 30 juin. Des allégations très graves concernant la sécurité nationale du pays. Ce serait selon lui, l'une des raisons principales de son départ. Et selon les dires de l'ancien CEO, il ne peut en dire plus au risque de ternir l’image du pays sur le plan international et qui impactera les relations diplomatiques.
A la question de Nawaz Noorbux : "Est-ce que vous vous rendez compte que vous avez déclaré la guerre au camp du Premier ministre, Pravind Jugnauth?", la réponse claque :« J'assume tout ce que j'ai dit. Mo pas enn so ban chatwa ».
Kobita Jugnauth, l'épouse du Premier ministre n'a pas été non plus épargnée. Sherry Singh a appelé cette dernière "Lady Macbeth". Il fait savoir lorsque Noorbux lui reproche son manque d'élégance, qu'il n'aurait jamais permis cette impair si elle ne se mêlait pas des affaires de l'Etat.
D’autre part, Sherry Singh a balancé les noms de ceux qu’il affirme font partie de Lakwizinn, un entourage "toxique", soit les conseillers du cercle fermé du chef du gouvernement : Kobita Jugnauth dit Lady Macbeth, Le ministre des Finances Renganaden Padayachy, dit le trésorier, Prakash Munthrooa, Ken Arian qui aime "zette laboue", Sarah Currimjee, Zouberr Joomaye, Rakesh Gooljaury, Jimmy Appadoo, Basoodeo Seetaram, Hans Pattur et Loveish Ramnochane entre autres.
Autre révélation, des "demandes farfelues" selon Sherry Singh venant des conseillers pour ralentir internet lors des récentes émeutes à la suite de la hausse des prix. Après l'intervention chaotique de la ministre Koonjoo-Shah qui tutoyait le journaliste avec une incroyable familiarité, Sherry Singh a laissé planer dans une menace très subtile la possibilité que s'il va faire une déposition à la police, il y aura de graves conséquences.
Pour conclure, Sherry Singh a annoncé qu'il entrera en politique pour rassembler une population
divisée et corriger l'erreur qu'il a commise en 2019 avec l'élection de Pravind Jugnauth. Qu'il ira sur le
terrain pour parler au peuple. "Si le peuple veut le changement, je donne la parole que nous soulèverons un tsunami." Et tout sourire : "Je sais que les membres du Pouvoir prépare quelque chose contre moi maintenant, je leur souhaite bonne chance, je fais maintenant partie du peuple".
A la question de Nawaz Noorbux : "Est-ce que vous vous rendez compte que vous avez déclaré la guerre au camp du Premier ministre, Pravind Jugnauth?", la réponse claque :« J'assume tout ce que j'ai dit. Mo pas enn so ban chatwa ».
Kobita Jugnauth, l'épouse du Premier ministre n'a pas été non plus épargnée. Sherry Singh a appelé cette dernière "Lady Macbeth". Il fait savoir lorsque Noorbux lui reproche son manque d'élégance, qu'il n'aurait jamais permis cette impair si elle ne se mêlait pas des affaires de l'Etat.
D’autre part, Sherry Singh a balancé les noms de ceux qu’il affirme font partie de Lakwizinn, un entourage "toxique", soit les conseillers du cercle fermé du chef du gouvernement : Kobita Jugnauth dit Lady Macbeth, Le ministre des Finances Renganaden Padayachy, dit le trésorier, Prakash Munthrooa, Ken Arian qui aime "zette laboue", Sarah Currimjee, Zouberr Joomaye, Rakesh Gooljaury, Jimmy Appadoo, Basoodeo Seetaram, Hans Pattur et Loveish Ramnochane entre autres.
Autre révélation, des "demandes farfelues" selon Sherry Singh venant des conseillers pour ralentir internet lors des récentes émeutes à la suite de la hausse des prix. Après l'intervention chaotique de la ministre Koonjoo-Shah qui tutoyait le journaliste avec une incroyable familiarité, Sherry Singh a laissé planer dans une menace très subtile la possibilité que s'il va faire une déposition à la police, il y aura de graves conséquences.
Pour conclure, Sherry Singh a annoncé qu'il entrera en politique pour rassembler une population
divisée et corriger l'erreur qu'il a commise en 2019 avec l'élection de Pravind Jugnauth. Qu'il ira sur le
terrain pour parler au peuple. "Si le peuple veut le changement, je donne la parole que nous soulèverons un tsunami." Et tout sourire : "Je sais que les membres du Pouvoir prépare quelque chose contre moi maintenant, je leur souhaite bonne chance, je fais maintenant partie du peuple".
