Le nom du député élu de la circonscription no 19 et leader du Muvman Liberater circule, dans cette stratégie de redorer le blason d'un gouvernement en perte de vitesse. Beaucoup croyaient que la corde était déjà nouée autour du cou de l'ancien no 2 du gouvernement et qu’il ne restait plus qu’à faire tomber le tabouret pour en finir avec un homme pas plus haut que trois pommes. Mais il a réussi à dénouer la corde et se donner de l’espace pour respirer dans le scandale de la Centrale St Louis. Est-ce à dire qu'il est sorti d'affaire ?
Ivan Collendavelloo est au sein de la majorité gouvernementale. Il s’y sent bien et compte y rester. Lors du congrès du MSM, il a indiqué qu’il ne va pas démissionner à propos de la lettre anonyme visant « une femme ». Il n’a pas dit le nom d’Ameenah Gurib-Fakim. « Je n’ai rien à voir avec une lettre visant une femme », a-t-il souligné. Et d’ajouter qu’il n’est pas d’accord avec sa révocation. « Le Premier ministre le sait. Je lui ai dit », a-t-il souligné. Ivan Collendavelloo a précisé que le Muvman Liberater est au sein de l’Alliance Morisien « et le restera au moins jusqu’aux prochaines élections ».
Le gouvernement est assiégé. Il l’était depuis 2019. Sa situation s’est envenimée depuis. Les récentes émeutes ou encore la motion de blâme de l'opposition contre le Premier ministre ont terni l'image d'un pays stable. Les accusations d'un projet de cyberespionnage ont entrainé le pays dans une guerre froide entre la Chine et l'Inde. Mais Pravind Jugnauth fait fi de toute prudence, c'est un bras de fer qui s'est installé, avec presque tout le monde. Une mèche a été allumée. Où est-ce que la bombe va exploser ? A moins d'un remaniement ministériel pour donner l'illusion qu'il tient le bon bout, le Premier ministre est acculé.
Ivan Collendavelloo est au sein de la majorité gouvernementale. Il s’y sent bien et compte y rester. Lors du congrès du MSM, il a indiqué qu’il ne va pas démissionner à propos de la lettre anonyme visant « une femme ». Il n’a pas dit le nom d’Ameenah Gurib-Fakim. « Je n’ai rien à voir avec une lettre visant une femme », a-t-il souligné. Et d’ajouter qu’il n’est pas d’accord avec sa révocation. « Le Premier ministre le sait. Je lui ai dit », a-t-il souligné. Ivan Collendavelloo a précisé que le Muvman Liberater est au sein de l’Alliance Morisien « et le restera au moins jusqu’aux prochaines élections ».
Le gouvernement est assiégé. Il l’était depuis 2019. Sa situation s’est envenimée depuis. Les récentes émeutes ou encore la motion de blâme de l'opposition contre le Premier ministre ont terni l'image d'un pays stable. Les accusations d'un projet de cyberespionnage ont entrainé le pays dans une guerre froide entre la Chine et l'Inde. Mais Pravind Jugnauth fait fi de toute prudence, c'est un bras de fer qui s'est installé, avec presque tout le monde. Une mèche a été allumée. Où est-ce que la bombe va exploser ? A moins d'un remaniement ministériel pour donner l'illusion qu'il tient le bon bout, le Premier ministre est acculé.