Le travailleur social a aussi déposé lundi dans le cadre de l’affaire ayant trait à la pétition électorale de Suren Dayal. Salim Muthy, rappelons-le, avait annoncé un accord avec le gouvernement pour le remboursement des clients des plans de l’ex-BAI. C’était avant les élections. Après, il a déclaré qu’il a été berné.
Ken Arian : un intrus au coeur du pouvoir
Lundi, devant les juges David Chan et Karuna Balaghee, il indiqué qu’il a eu plusieurs réunions avec Ken Arian et Raj Meetarbhan, tous deux conseillers du Premier ministre. C’était le 30 octobre 2019. Une autre réunion a eu lieu le 31 octobre au bureau du PM. Cette fois-ci, Dev Manraj, secrétaire financier et Ken Arian, étaient présents. Dev Manraj lui aurait dit que tout allait être fait pour voit comment les payer.
Le 1er novembre 2019, il a eu une autre réunion avec Rudy Veeramundar, Communications Officer au bureau du PM, et Sanjeev Issary, alors CEO de la National Property Fund Ltd. Salim Muthy a déclaré qu’une ébauche d’un accord concernant le remboursement a été établie. Il a ajouté qu’un document a été signé mais Rudy Veeramundar ne lui a pas donné de copie, soutenant que cela pouvait être considéré comme un « 'bribe' électoral ».
Ken Arian : un intrus au coeur du pouvoir
Lundi, devant les juges David Chan et Karuna Balaghee, il indiqué qu’il a eu plusieurs réunions avec Ken Arian et Raj Meetarbhan, tous deux conseillers du Premier ministre. C’était le 30 octobre 2019. Une autre réunion a eu lieu le 31 octobre au bureau du PM. Cette fois-ci, Dev Manraj, secrétaire financier et Ken Arian, étaient présents. Dev Manraj lui aurait dit que tout allait être fait pour voit comment les payer.
Le 1er novembre 2019, il a eu une autre réunion avec Rudy Veeramundar, Communications Officer au bureau du PM, et Sanjeev Issary, alors CEO de la National Property Fund Ltd. Salim Muthy a déclaré qu’une ébauche d’un accord concernant le remboursement a été établie. Il a ajouté qu’un document a été signé mais Rudy Veeramundar ne lui a pas donné de copie, soutenant que cela pouvait être considéré comme un « 'bribe' électoral ».