Sandhya Boygah a fait son grand retour en décrochant la tête du bureau des normes. L'ex Parliamentary Private Secretary de la circonscription n° 11 (Vieux Grand Port/ Rose-Belle), connue pour ses frasques avec fracas, s'installe à la tête de la Mauritius Standards Bureau (MSB), alors que sa candidature avait été une première fois rejetée par le conseil d’administration.
Mais avec un incroyable tour de passe-passe, à la suite de la démission du président de cette instance, le Board, désormais présidé par Sanjiv Mulloo, considéré comme proche de Pravind Jugnauth, a tout simplement avalisé la candidature de Sandhya Boygah.
Rashida Nunhuk qui compte une trentaine d’années d’expérience au sein du MSB et qui a occupé le poste de CEO par intérim depuis 2012, démissionne, celle-ci prendra effet à partir du 15 août.
Dossier : Veer Luchoomun, un frère peu convenable
Rappelons que Sanjiv Mulloo est le CEO de la société Quad Printing à Coromandel et également président de la National Productivity and Competitiveness Council depuis octobre 2015. Il s'est fait connaître suite aux allégations du leader du PTr, Navin Ramgoolam, dans sa pétition électorale déposée en Cour suprême, qui affirme que les bulletins de vote, dans le cadre des législatives du 7 novembre, n'ont pas été imprimés par la Government Printing, mais dans les locaux de Quad Printing.
Mais avec un incroyable tour de passe-passe, à la suite de la démission du président de cette instance, le Board, désormais présidé par Sanjiv Mulloo, considéré comme proche de Pravind Jugnauth, a tout simplement avalisé la candidature de Sandhya Boygah.
Rashida Nunhuk qui compte une trentaine d’années d’expérience au sein du MSB et qui a occupé le poste de CEO par intérim depuis 2012, démissionne, celle-ci prendra effet à partir du 15 août.
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Rappelons que Sanjiv Mulloo est le CEO de la société Quad Printing à Coromandel et également président de la National Productivity and Competitiveness Council depuis octobre 2015. Il s'est fait connaître suite aux allégations du leader du PTr, Navin Ramgoolam, dans sa pétition électorale déposée en Cour suprême, qui affirme que les bulletins de vote, dans le cadre des législatives du 7 novembre, n'ont pas été imprimés par la Government Printing, mais dans les locaux de Quad Printing.