Outre le fait que sa liberté tient à une décision du Privy Council, Siddick Chady a connu un autre revers devant la justice. En effet, il avait fait appel d’un jugement oral dans une affaire où ses biens allaient être saisis.
Celui-ci a été rejeté. Mieux, les deux juges qui ont écouté l’affaire ont estimé que Siddick et Hannah Chady ont utilisé nombre de tactiques dilatoires au fil des ans afin de suspendre la vente de leur propriété. Les juges Shameem Hamuth-Lauloo et Kesnaytee Bissoonauth sont même allées, dans leur jugement, à demander que le dossier soit référé à l’Attorney General afin qu’il prenne les dispositions nécessaires pour éviter l’utilisation de ce type de tactiques dilatoires dans le cas de vente de biens immobiliers à la barre.
Pour ce qui est des Chady, les deux juges ont ordonné que les biens en questions soient vendus. Mais, il y a une autre particularité dans cette histoire. Les deux juges ont émis de sévères critiques, mais polies, contre l’avocat de Siddick Chady, Me Saïd Toorbuth. Elles ont repris une ancienne remarque d’un bench antérieur pour dire qu’il ne sert à rien d’exercer une noble profession si c’est pour s’adonner à de mauvaises pratiques.
Celui-ci a été rejeté. Mieux, les deux juges qui ont écouté l’affaire ont estimé que Siddick et Hannah Chady ont utilisé nombre de tactiques dilatoires au fil des ans afin de suspendre la vente de leur propriété. Les juges Shameem Hamuth-Lauloo et Kesnaytee Bissoonauth sont même allées, dans leur jugement, à demander que le dossier soit référé à l’Attorney General afin qu’il prenne les dispositions nécessaires pour éviter l’utilisation de ce type de tactiques dilatoires dans le cas de vente de biens immobiliers à la barre.
Pour ce qui est des Chady, les deux juges ont ordonné que les biens en questions soient vendus. Mais, il y a une autre particularité dans cette histoire. Les deux juges ont émis de sévères critiques, mais polies, contre l’avocat de Siddick Chady, Me Saïd Toorbuth. Elles ont repris une ancienne remarque d’un bench antérieur pour dire qu’il ne sert à rien d’exercer une noble profession si c’est pour s’adonner à de mauvaises pratiques.
