Teeluck a du bol, il doit remercier les Cieux pour les inondations dans le pays. Au moins l'attention est quelque peu détourné. Jamais un record du monde n'aura eu autant de mauvaises publicités sur les réseaux sociaux. Le mardi 24 janvier était pourtant à marquer d'une pierre blanche pour l'île Maurice. Le pays est entré dans le livre des records de Guinness. Grâce à 6 145 collégiens, Maurice a pu battre le record du monde du plus grand drapeau national à l'aide d'une chaîne humaine.
Si le pays souhaitait une large communication à travers les réseaux sociaux, c'est réussi mais pour les mauvaises raisons. Les jeunes participants qui ont passé la journée sous la pluie dans le « grand élan patriotique » et au service du pays, selon le Premier ministre, ont reçu pour le déjeuner du pain avec du bringelle brûlée (en plus) et pain, du riz et du margoze. Beaucoup se sont lâchés sur Tik Tok et sur Facebook. Ils dénoncent ce manque de considération. Ils ne sont pas en reste, les profs aussi !
Le lendemain, le ministre des Arts et du Patrimoine culturel, la risée du web, a animé un point de presse avec une voix larmoyante en ce cessant de gémir concernant la polémique. Mal inspiré, Teeluck s'en est pris à tout le monde. Il dit ne pas comprendre les insultes proférées et les commentaires déplaisants faits, surtout de la part d’adultes. « C’est dommage et chagrinant », a-t-il déclaré. Il a aussi critiqué certains membres de l’opposition et certains membres de la presse qui ont, selon lui, alimenter la polémique.
Quand Avinash Teeluck fait le parallèle entre le navire qui transportait des esclaves et la situation du gouvernement
Teeluck a la mémoire qui flanche. Lui qui aime distribuer des dattes à son nom en plein ramadan, devrait prendre un grand verre de lait 'badame'. C'est bien lui, qui en août dernier, flanqué de son leader et autres acolytes, ont sillonné le pays, l'occasion des 20 ans du MSM, pour cracher de façon vulgaire et insultante sur les opposants politiques et la presse. Il est toujours de bon ton de faire la morale en sermonnant les autres, mais comme dit l'expression créole : "la tortue ne voit pas sa queue."
La star du jour
Il n’est pas passé par quatre chemins. Subiraj Sok Appadu, ancien directeur de la station météo de Vacoas, a été très critique contre son ancienne boîte. Il a dénoncé la décision de lever l’avis de fortes pluies à 5 heures jeudi alors que c’est ce jour-là qu’il a plu des trombes sur le pays.
Il a déclaré sur un média qu’il ne « comprend plus ce qui se passe à la météo ». Mieux, Subiraj Sok Appadu est même allé jusqu’à dire qu’il ne comprend plus ce qui se passe dans la boîte et qu’un état des lieux s’impose. Tout comme une meilleure formation ! Ce n’est certes pas chic pour les anciens collègues. Il semble laisser entendre que d’autres critères, autres que climatiques, pourraient avoir pesé dans la décision de lever l’avis de fortes pluies. Car il soutient que la sécurité de la population doit primer dans l’évaluation que font les employés de la station de Vacoas.
Si le pays souhaitait une large communication à travers les réseaux sociaux, c'est réussi mais pour les mauvaises raisons. Les jeunes participants qui ont passé la journée sous la pluie dans le « grand élan patriotique » et au service du pays, selon le Premier ministre, ont reçu pour le déjeuner du pain avec du bringelle brûlée (en plus) et pain, du riz et du margoze. Beaucoup se sont lâchés sur Tik Tok et sur Facebook. Ils dénoncent ce manque de considération. Ils ne sont pas en reste, les profs aussi !
Le lendemain, le ministre des Arts et du Patrimoine culturel, la risée du web, a animé un point de presse avec une voix larmoyante en ce cessant de gémir concernant la polémique. Mal inspiré, Teeluck s'en est pris à tout le monde. Il dit ne pas comprendre les insultes proférées et les commentaires déplaisants faits, surtout de la part d’adultes. « C’est dommage et chagrinant », a-t-il déclaré. Il a aussi critiqué certains membres de l’opposition et certains membres de la presse qui ont, selon lui, alimenter la polémique.
Quand Avinash Teeluck fait le parallèle entre le navire qui transportait des esclaves et la situation du gouvernement
Teeluck a la mémoire qui flanche. Lui qui aime distribuer des dattes à son nom en plein ramadan, devrait prendre un grand verre de lait 'badame'. C'est bien lui, qui en août dernier, flanqué de son leader et autres acolytes, ont sillonné le pays, l'occasion des 20 ans du MSM, pour cracher de façon vulgaire et insultante sur les opposants politiques et la presse. Il est toujours de bon ton de faire la morale en sermonnant les autres, mais comme dit l'expression créole : "la tortue ne voit pas sa queue."
La star du jour
Il n’est pas passé par quatre chemins. Subiraj Sok Appadu, ancien directeur de la station météo de Vacoas, a été très critique contre son ancienne boîte. Il a dénoncé la décision de lever l’avis de fortes pluies à 5 heures jeudi alors que c’est ce jour-là qu’il a plu des trombes sur le pays.
Il a déclaré sur un média qu’il ne « comprend plus ce qui se passe à la météo ». Mieux, Subiraj Sok Appadu est même allé jusqu’à dire qu’il ne comprend plus ce qui se passe dans la boîte et qu’un état des lieux s’impose. Tout comme une meilleure formation ! Ce n’est certes pas chic pour les anciens collègues. Il semble laisser entendre que d’autres critères, autres que climatiques, pourraient avoir pesé dans la décision de lever l’avis de fortes pluies. Car il soutient que la sécurité de la population doit primer dans l’évaluation que font les employés de la station de Vacoas.
