Alors que se déroulait en grande pompe hier, samedi 10 septembre, une cérémonie pour attribuer des médailles à 1793 policiers postés dans différentes unités à travers l’île, pour leur loyauté et dévouement au devoir, en présence du Commissaire de police Anil Kumar Dip, et de plusieurs hauts gradés de la police, l'affaire des fuites de vidéos intimes sur les réseaux sociaux dans le dossier Akil Bissessur ternit encore une fois, une politique de "polico crapo". Rappelons que le téléphone de l'avocat Akil Bissessur avait été remis aux policiers pour les besoins de l'enquête lors de sa garde à vue.
La statuette Hanuman vandalisée dans l'affaire Akil Bissessur : Indignation à géométrie variable du MSM
L’affaire Akil Bissessur et le fonctionnement de la lutte antidrogue sont devenus au fil des semaine une affaire d'Etat. Tout d'abord avec un Premier ministre bafouant allègrement la présomption d'innocence en tenant des propos diffamatoires lors de son congrès à travers l'île, puis l'attitude d'Anil Kumar Dip qui a accordé un entretien dans le journal du Défi qui mérite de s'y attarder. Alors que la PHQ Special Striking Team, dirigée par l’assistant surintendant Ashik Jagai, est sous les feux des critiques depuis l’arrestation d’Akil Bissessur, le 19 août dernier, où la défense accuse des membres de cette unité d’avoir introduit de la drogue au domicile de sa compagne pour le piéger, pour le commissaire de police, il n’y a jamais eu de « planting.»
Au-delà de cette affaire, le commissaire de police soutient que les avocats, sans nommer le panel d'avocats surnommé les 'Avengers', ont tendance à manipuler l’opinion publique contre la police. Il oublie peut-être de souligner que le déficit d'image des policiers dans l'opinion publique est ancré sans l'aide de quiconque. Il suffit de prendre connaissance des nombreux scandales tels que l'affaire Kristen où encore les cas de brutalité de policières dans les stations de police.
La statuette Hanuman vandalisée dans l'affaire Akil Bissessur : Indignation à géométrie variable du MSM
L’affaire Akil Bissessur et le fonctionnement de la lutte antidrogue sont devenus au fil des semaine une affaire d'Etat. Tout d'abord avec un Premier ministre bafouant allègrement la présomption d'innocence en tenant des propos diffamatoires lors de son congrès à travers l'île, puis l'attitude d'Anil Kumar Dip qui a accordé un entretien dans le journal du Défi qui mérite de s'y attarder. Alors que la PHQ Special Striking Team, dirigée par l’assistant surintendant Ashik Jagai, est sous les feux des critiques depuis l’arrestation d’Akil Bissessur, le 19 août dernier, où la défense accuse des membres de cette unité d’avoir introduit de la drogue au domicile de sa compagne pour le piéger, pour le commissaire de police, il n’y a jamais eu de « planting.»
Au-delà de cette affaire, le commissaire de police soutient que les avocats, sans nommer le panel d'avocats surnommé les 'Avengers', ont tendance à manipuler l’opinion publique contre la police. Il oublie peut-être de souligner que le déficit d'image des policiers dans l'opinion publique est ancré sans l'aide de quiconque. Il suffit de prendre connaissance des nombreux scandales tels que l'affaire Kristen où encore les cas de brutalité de policières dans les stations de police.
