Baptisée Clinique Ste-Hélène, elle sera construite à Curepipe, sur une superficie de 2,616 mètres carrés sur des terres appartenant à Bibi Shaheen Banu-Joomaye, qui n’est autre que l’épouse du Dr Zouberr Joomaye, candidat battu de L’Alliance Morisien dans la circonscription Port-Louis Sud/Port-Louis Central (No 2).
À travers sa société Polyclinique de L’Ouest Ltée, le médecin possède aussi une clinique de greffe de cheveux à Floréal et une unité ophtalmologique à Ébène.
C'est le groupe malgache Filatex, une entreprise familiale qui opère dans le secteur de l’énergie, qui a investi dans le projet de la société PolyClinique de l’Ouest Ltée. Un gros boost, il va sans dire. D’autant que le groupe Filatex produit un tiers de l’énergie consommée dans la Grande-île. Il veut donc diversifier ses activités en mettant un pied dans le secteur de la santé privée à Maurice. Mais qui est derrière le projet PolyClinique de l’Ouest Ltée ? Tout simplement le Dr Zouberr Joomaye. Sa société compte construire deux établissements spécialisés dans le cancer. Un projet ambitieux au coût, selon Bloomberg, de 60 millions de dollars.
En plein confinement, le projet d'hôpital de Zouberr Joomaye avance petit à petit
Mais c'est un message très virulent venant de la Paroisse de Sainte Hélène et du Diocèse de Port-Louis, qui aujourd'hui, entre dans le débat. Ces derniers, déclarent qu'ils n'ont rien à voir avec ce projet de clinique. "Nous ne sommes pas d'accord qu'une compagnie privée se permette de nommer une clinique du nom de "ST. HELENE" (dans un hybride "franglais", il y a un "e" de trop ou de moins quelque part..) alors que son activité n'est en rien inspirée par le catholicisme. Pourquoi un tel emprunt? Par pure proximité géographique avec l'église de Ste Hélène? Pour profiter de la bonne réputation qu'ont en général les cliniques fondées par les institutions catholiques?"
"Certains diront que la librairie ou la quincaillerie "Ste Hélène" existent déjà. Cependant nous avons ici affaire à une activité, le domaine de la santé, où l'Église a traditionnellement occupé une place importante, avec une vision et des valeurs. Ainsi, pensant que cet emprunt risquerait de semer la confusion chez les gens, nous nous engageons juridiquement à contrer cette appellation. "
À travers sa société Polyclinique de L’Ouest Ltée, le médecin possède aussi une clinique de greffe de cheveux à Floréal et une unité ophtalmologique à Ébène.
C'est le groupe malgache Filatex, une entreprise familiale qui opère dans le secteur de l’énergie, qui a investi dans le projet de la société PolyClinique de l’Ouest Ltée. Un gros boost, il va sans dire. D’autant que le groupe Filatex produit un tiers de l’énergie consommée dans la Grande-île. Il veut donc diversifier ses activités en mettant un pied dans le secteur de la santé privée à Maurice. Mais qui est derrière le projet PolyClinique de l’Ouest Ltée ? Tout simplement le Dr Zouberr Joomaye. Sa société compte construire deux établissements spécialisés dans le cancer. Un projet ambitieux au coût, selon Bloomberg, de 60 millions de dollars.
En plein confinement, le projet d'hôpital de Zouberr Joomaye avance petit à petit
Mais c'est un message très virulent venant de la Paroisse de Sainte Hélène et du Diocèse de Port-Louis, qui aujourd'hui, entre dans le débat. Ces derniers, déclarent qu'ils n'ont rien à voir avec ce projet de clinique. "Nous ne sommes pas d'accord qu'une compagnie privée se permette de nommer une clinique du nom de "ST. HELENE" (dans un hybride "franglais", il y a un "e" de trop ou de moins quelque part..) alors que son activité n'est en rien inspirée par le catholicisme. Pourquoi un tel emprunt? Par pure proximité géographique avec l'église de Ste Hélène? Pour profiter de la bonne réputation qu'ont en général les cliniques fondées par les institutions catholiques?"
"Certains diront que la librairie ou la quincaillerie "Ste Hélène" existent déjà. Cependant nous avons ici affaire à une activité, le domaine de la santé, où l'Église a traditionnellement occupé une place importante, avec une vision et des valeurs. Ainsi, pensant que cet emprunt risquerait de semer la confusion chez les gens, nous nous engageons juridiquement à contrer cette appellation. "
