La presse française, avait émis de virulentes critiques sur Maurice pour sa campagne d’abattage de la roussette en rappelant que le pays est signataire de la Convention sur la diversité biologique adoptée lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992.
Abattage des chauves-souris, l'IUCN a classé ces mammifères sur la liste rouge
A La Réunion, les médias réunionnais ont fait écho lors de la campagne d'abattage de l'année dernière, suggérant que la roussette mauricienne se trouvait désormais dans un nouveau refuge à La Réunion face à la décision du gouvernement d'exterminer l'espèce.
Un nouvel exercice d’abattage de la roussette a débuté
Et pourtant sous la houlette désormais du nouveau ministre de l’Agro-industrie, Maneesh Gobin, ce dernier sans donner des chiffres précis, a affirmé que la population des chauves-souris a «quadruplé» depuis le dernier exercice et qu'une première séance d'abattage a démarré le jeudi 12 décembre par des soldats de la Special Mobile Force (SMF).
Gobin, comme son prédécesseur, justifie ce massacre par la baisse dans la production de fruits.
« C’était la décision à prendre pour gérer la population de chauves-souris et veiller à ce qu’elles ne deviennent pas une nuisance et incontrôlable/ Nou tou kone ki popilasyon finn ogmante, nu mem truv zot dan centre-ville».
Abattage des chauves-souris, l'IUCN a classé ces mammifères sur la liste rouge
A La Réunion, les médias réunionnais ont fait écho lors de la campagne d'abattage de l'année dernière, suggérant que la roussette mauricienne se trouvait désormais dans un nouveau refuge à La Réunion face à la décision du gouvernement d'exterminer l'espèce.
Un nouvel exercice d’abattage de la roussette a débuté
Et pourtant sous la houlette désormais du nouveau ministre de l’Agro-industrie, Maneesh Gobin, ce dernier sans donner des chiffres précis, a affirmé que la population des chauves-souris a «quadruplé» depuis le dernier exercice et qu'une première séance d'abattage a démarré le jeudi 12 décembre par des soldats de la Special Mobile Force (SMF).
Gobin, comme son prédécesseur, justifie ce massacre par la baisse dans la production de fruits.
« C’était la décision à prendre pour gérer la population de chauves-souris et veiller à ce qu’elles ne deviennent pas une nuisance et incontrôlable/ Nou tou kone ki popilasyon finn ogmante, nu mem truv zot dan centre-ville».