Une baleine s'est échouée dans le lagon de Bel-Ombre hier, lundi 26 août aux alentours de 8 heures.
Malgré la mobilisation des éléments de la National Coast Guard (NCG) pour tenter de ramener le cachalot échoué à terre, les efforts sont restés vains. Le poids du mammifère et le fait qu’il se soit échoué sur des récifs rendent la tâche compliquée.
De couleur blanche, la baleine mesure environ 15 à 20 mètres de long et pèse environ cinq tonnes. Le cadavre se trouve déjà dans un état de décomposition avancée.
Impossible pour l'heure de déterminer si le corps de l’animal présenterait des traces de morsures qui pourraient avoir été faites par des requins ou postérieures à l'échouage. Selon le protocole, une équipe du centre de recherche d’Albion a prélevé des échantillons en vue de déterminer les causes du décès du cétacé.
Aucune précautions d'usage n'ont été prises afin de préserver l'eau de baignade autour du cadavre et la sécurité de la population.
Pour rappel, malgré la curiosité des pêcheurs, il faudrait un périmètre de sécurité autour du corps du cétacé sur un rayon de plus de 200 mètres, car les « les gaz produits lors de la décomposition de la carcasse peuvent provoquer des explosions dangereuses et les carcasses en putréfaction hébergent un réservoir bactériologique pouvant contaminer les eaux de baignade ».
Malgré la mobilisation des éléments de la National Coast Guard (NCG) pour tenter de ramener le cachalot échoué à terre, les efforts sont restés vains. Le poids du mammifère et le fait qu’il se soit échoué sur des récifs rendent la tâche compliquée.
De couleur blanche, la baleine mesure environ 15 à 20 mètres de long et pèse environ cinq tonnes. Le cadavre se trouve déjà dans un état de décomposition avancée.
Impossible pour l'heure de déterminer si le corps de l’animal présenterait des traces de morsures qui pourraient avoir été faites par des requins ou postérieures à l'échouage. Selon le protocole, une équipe du centre de recherche d’Albion a prélevé des échantillons en vue de déterminer les causes du décès du cétacé.
Aucune précautions d'usage n'ont été prises afin de préserver l'eau de baignade autour du cadavre et la sécurité de la population.
Pour rappel, malgré la curiosité des pêcheurs, il faudrait un périmètre de sécurité autour du corps du cétacé sur un rayon de plus de 200 mètres, car les « les gaz produits lors de la décomposition de la carcasse peuvent provoquer des explosions dangereuses et les carcasses en putréfaction hébergent un réservoir bactériologique pouvant contaminer les eaux de baignade ».
