Il n’est pas passé par quatre chemins pour dire la nécessité de reconnaître le kreol comme une langue à part entière. Pourtant, il a déclaré qu’il était sceptique au départ à ce sujet. « Je pensais qu’il allait être difficile d’exprimer tout ce qu’on voulait en kreol. J’estimais aussi qu’elle était difficile pour l’écrit. Mais toujours grâce aux amis, aux frères, j’ai réalisé que c’est possible », a-t-il déclaré.
Dans son plaidoyer pour la reconnaissance de la langue kreol, le cardinal Piat a brandi des arguments massifs mais simples. « Si vous respectez la dignité d’une personne, il vous faut rester sa culture. Et le respect de la culture passe par le respect de la langue. Car la langue fait partie de la culture », a-t-il souligné. L’autre argument est encore plus fort. « C’est la seule langue qui a pris naissance dans ce pays. Toutes les autres sont des langues importées. C’est la langue de lacaz mama. Il nous fait la respecter. Beaucoup de personnes m’ont fait découvrir la valeur de la langue kreol », a-t-il affirmé. Et le cardinal Piat de terminer son homélie en disant que ce ses amis, ses frères qui l’ont libéré. Il avait commencé par dire que l’abolition de l’esclavage est comparable à l’indépendance d’un pays. Car c’est la liberté d’un peuple qui est reconnue dans la loi.
Dans son plaidoyer pour la reconnaissance de la langue kreol, le cardinal Piat a brandi des arguments massifs mais simples. « Si vous respectez la dignité d’une personne, il vous faut rester sa culture. Et le respect de la culture passe par le respect de la langue. Car la langue fait partie de la culture », a-t-il souligné. L’autre argument est encore plus fort. « C’est la seule langue qui a pris naissance dans ce pays. Toutes les autres sont des langues importées. C’est la langue de lacaz mama. Il nous fait la respecter. Beaucoup de personnes m’ont fait découvrir la valeur de la langue kreol », a-t-il affirmé. Et le cardinal Piat de terminer son homélie en disant que ce ses amis, ses frères qui l’ont libéré. Il avait commencé par dire que l’abolition de l’esclavage est comparable à l’indépendance d’un pays. Car c’est la liberté d’un peuple qui est reconnue dans la loi.