A l'île Maurice, la vaccination contre la Covid-19 est un enjeu sanitaire majeur mais aussi économique, avec une volonté, de l'Etat mauricien de vacciner au moins 60% de la population.
«No rush», « Nous ne sommes pas dans une situation où il faut obligatoirement faire le vaccin contre la Covid-19, il n'y a aucune urgence » avait déclaré le ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal en début d'année. Depuis la donne a changé.
Le coup de pression est venu lors d'un point de communication ce samedi 27 mars, par la conseillère du Bureau du Premier ministre, le Dr Gaud. En effet, depuis 48 heures le comité Santé ne communique plus aucun chiffre sur la campagne de vaccination.
Le constat est sévère, les professionnels de santé hésitent à se faire vacciner et font valoir leur droit et leur choix. Les vaccins n'ont toujours pas eu l'homologation de l'OMS et freine les plus ténébreux à franchir le pas, quand ce n'est pas un formulaire de consentement très controversé et contesté.
Ils doivent se faire vacciner « pour leur entourage, pour leur pays et pour leurs patients. »
Comment culpabiliser une profession sous pression ? Simple ! Il suffit d'écouter le plaidoyer de l'experte en immunologie qui a enlevé sa blouse de médecin pour celle de conseillère du Bureau du Premier ministre : « Nous avons constaté qu’il y a un tiers du staff qui s’est fait vacciner. Au département de dialyse de Souillac, il y a un staff sur tout le personnel qui s’est vacciné. Si les autres membres du personnel s’étaient faits vacciner, on ne se serait pas retrouvé dans la situation actuelle. C’est leur devoir de se faire vacciner.»
La vaccination un choix pas une obligation
De ce fait, sans surprise, le ministre de la Santé avoue que du personnel soignant travaillant à l’unité de dialyse de Souillac, un seul membre a déjà fait son vaccin.
«No rush», « Nous ne sommes pas dans une situation où il faut obligatoirement faire le vaccin contre la Covid-19, il n'y a aucune urgence » avait déclaré le ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal en début d'année. Depuis la donne a changé.
Le coup de pression est venu lors d'un point de communication ce samedi 27 mars, par la conseillère du Bureau du Premier ministre, le Dr Gaud. En effet, depuis 48 heures le comité Santé ne communique plus aucun chiffre sur la campagne de vaccination.
Le constat est sévère, les professionnels de santé hésitent à se faire vacciner et font valoir leur droit et leur choix. Les vaccins n'ont toujours pas eu l'homologation de l'OMS et freine les plus ténébreux à franchir le pas, quand ce n'est pas un formulaire de consentement très controversé et contesté.
Ils doivent se faire vacciner « pour leur entourage, pour leur pays et pour leurs patients. »
Comment culpabiliser une profession sous pression ? Simple ! Il suffit d'écouter le plaidoyer de l'experte en immunologie qui a enlevé sa blouse de médecin pour celle de conseillère du Bureau du Premier ministre : « Nous avons constaté qu’il y a un tiers du staff qui s’est fait vacciner. Au département de dialyse de Souillac, il y a un staff sur tout le personnel qui s’est vacciné. Si les autres membres du personnel s’étaient faits vacciner, on ne se serait pas retrouvé dans la situation actuelle. C’est leur devoir de se faire vacciner.»
La vaccination un choix pas une obligation
De ce fait, sans surprise, le ministre de la Santé avoue que du personnel soignant travaillant à l’unité de dialyse de Souillac, un seul membre a déjà fait son vaccin.