Ce qui pourrait être légal ne serait pas forcément pas moral. Ses services ont été retenus par un organisme pour faire partie d’un panel qui a procédé à des entretiens pour le recrutement d’un responsable des ressources humaines. Jusque-là, tout va bien.
Le hic dans l’histoire, c’est que l’organisme en question fait l’objet d’une enquête de l’Icac. Pas très joli-joli ! Un professionnel a le droit de travailler là où ses services sont retenus. Mais lorsqu’on est payé, directement ou indirectement, par l’Icac, ne doit-on pas choisir ses clients avec parcimonie ? La question est posée.
Le hic dans l’histoire, c’est que l’organisme en question fait l’objet d’une enquête de l’Icac. Pas très joli-joli ! Un professionnel a le droit de travailler là où ses services sont retenus. Mais lorsqu’on est payé, directement ou indirectement, par l’Icac, ne doit-on pas choisir ses clients avec parcimonie ? La question est posée.