Mohammud Tayab Fadil Ramjan, ancien stagiaire à l'étude d'Étienne Sinatambou, aujourd'hui juriste, est accusé de détournement. En juin 2015, il a fait l'objet d'une plainte de l'épouse de Sinatambou.
Elle a allegué que Ramjan aurait détourné Rs 15,2 millions. Elle a allégué qu'une centaine de chèques de l'étude auraient été falsifiés et des montants empochés. Elle a dit soupçonner le suspect. L'affaire a été prise par la police et l'enquête référée à l'ICAC par la FIU concernant le volet blanchiment d'argent. Un disclosure order a permis de découvrir que les chèques avaient été émis à l'attention du suspect, au nom de son père décédé et de son entreprise Dodo Advertising and Marketing.
À ce moment, le suspect n'était pas à Maurice et sa famille ne savait où il se trouvait. L'ICAC l'a vite retracé à Dubai et a emis un "notice upon arrival". Six ans après, en août de cette année, le suspect est rentré au pays. Le Passport and Immigration Office a informé l'ICAC qui a immédiatement procédé à son interpellation aussitôt que la police l'avait cueilli à sa sortie de quarantaine.
Le suspect a préféré garder son droit au silence tout au long de l'enquête et n'a pipé mot sur comment il a dépensé les Rs 10 millions que l'enquête de la Commission a retracées. L'ICAC a procédé à son arrestation et le suspect a été conduit au tribunal de Port Louis où une accusation de blanchiment d'argent où une charge sous la section 3(1)b du FIAMLA à été retenue contre lui.
Elle a allegué que Ramjan aurait détourné Rs 15,2 millions. Elle a allégué qu'une centaine de chèques de l'étude auraient été falsifiés et des montants empochés. Elle a dit soupçonner le suspect. L'affaire a été prise par la police et l'enquête référée à l'ICAC par la FIU concernant le volet blanchiment d'argent. Un disclosure order a permis de découvrir que les chèques avaient été émis à l'attention du suspect, au nom de son père décédé et de son entreprise Dodo Advertising and Marketing.
À ce moment, le suspect n'était pas à Maurice et sa famille ne savait où il se trouvait. L'ICAC l'a vite retracé à Dubai et a emis un "notice upon arrival". Six ans après, en août de cette année, le suspect est rentré au pays. Le Passport and Immigration Office a informé l'ICAC qui a immédiatement procédé à son interpellation aussitôt que la police l'avait cueilli à sa sortie de quarantaine.
Le suspect a préféré garder son droit au silence tout au long de l'enquête et n'a pipé mot sur comment il a dépensé les Rs 10 millions que l'enquête de la Commission a retracées. L'ICAC a procédé à son arrestation et le suspect a été conduit au tribunal de Port Louis où une accusation de blanchiment d'argent où une charge sous la section 3(1)b du FIAMLA à été retenue contre lui.