La fête de Divali, la plus importante dans l’hindouisme, commémore la victoire du bien sur le mal, de la vie sur la mort, de la lumière sur les ténèbres.
À l’occasion de cette fête, symboliquement marquée par l’illumination des habitations, nombreux sont les Mauriciens qui peinent à avoir de l’eau. Une interruption d'eau pour ces grands jours de fêtes qui passe mal.
Le début de l’été austral n’a pas drainé dans son sillage les pluies escomptées à l'île Maurice. L’eau devient une denrée rare, notamment dans le Sud-Ouest de l’île, avec des robinets qui sont alimentés de façon épisodique.
Les abonnés de la CWA ne savent plus à quels saint se vouer en attendant les camions-citernes qui sillonnent les localités affectées par ces coupures. Vendredi 13 novembre, las, les habitants du Morne, dans le sud-ouest de Maurice, ont bloqué la route à un camion transportant de l’eau dans le quartier, pour crier leur colère face à une distribution injuste du précieux liquide.
Des camions-citernes ravitaillent ainsi la population pour assurer l’essentiel et faire face à la situation préoccupante. Un ravitaillement en eau que les habitants jugent toutefois partial. Ces derniers prétendent que la distribution est faite à la tête du client.
À l’occasion de cette fête, symboliquement marquée par l’illumination des habitations, nombreux sont les Mauriciens qui peinent à avoir de l’eau. Une interruption d'eau pour ces grands jours de fêtes qui passe mal.
Le début de l’été austral n’a pas drainé dans son sillage les pluies escomptées à l'île Maurice. L’eau devient une denrée rare, notamment dans le Sud-Ouest de l’île, avec des robinets qui sont alimentés de façon épisodique.
Les abonnés de la CWA ne savent plus à quels saint se vouer en attendant les camions-citernes qui sillonnent les localités affectées par ces coupures. Vendredi 13 novembre, las, les habitants du Morne, dans le sud-ouest de Maurice, ont bloqué la route à un camion transportant de l’eau dans le quartier, pour crier leur colère face à une distribution injuste du précieux liquide.
Des camions-citernes ravitaillent ainsi la population pour assurer l’essentiel et faire face à la situation préoccupante. Un ravitaillement en eau que les habitants jugent toutefois partial. Ces derniers prétendent que la distribution est faite à la tête du client.