Le leader de l’opposition et le ministre du Tourisme se sont affrontés… mais de façon très civilisée, avec des piques bien placées ça et là lors des questions parlementaires hier mardi 23 avril.
Pour Xavier-Luc Duval le secteur du tourisme fait face à une crise sans précédent depuis ces 10 dernières années. Mais Anil Gayan s’est voulu rassurant. La situation n’est pas aussi grave… attendons la fin de l’année, a-t-il souligné.
La guerre des chiffres
Et pourtant, les deux se sont basés sur les chiffres de Statistics Mauritius. Si pour Xavier-Luc Duval, il est temps de séparer les croisiéristes qui viennent par bateau et qui restent un ou deux jours à Maurice mais en logeant sur leurs navires et ceux qui viennent à Maurice par avion. Ces derniers restent, en général, une dizaine de jours dans l’île.
Mais selon Anil Gayan cette séparation ne peut se faire et a souligné que sont comptabilisés comme touristes que ceux qui descendent de navire.
Xavier-Luc Duval a mis l’accent sur les chiffres négatifs de ces trois derniers mois, notamment sur des marchés porteurs. Mais Anil Gayan a indiqué que la baisse n’est pas aussi conséquente que Xavier-Luc Duval voudrait le faire accroire.
Si il a bien voulu reconnaître une baisse de performance sur certains marchés, il rejette la responsabilité sur Air Mauritius qui a supprimé 24 vols et 7200 voyageurs sur la Chine, l'Inde, 17 vols et 5 100 Indiens en moins et l’Angleterre 13 vols annulés, soit quelque 4 000 sièges.
D'autres facteurs ont été énoncé pour justifier cette baisse : les vacances de Pâques qui ont eu lieu en avril cette année au lieu de mars, les attaques terroristes, les gilets jaunes en France et bien sûr le Brexit et d'affirmer :
«Maurice n’a ni tour Eiffel, ni Buckingham Palace, ni Bob Marley».
Si il prévoit cependant une hausse dans les arrivées bientôt en citant en exemple le tourisme saoudien qui a connu une augmentation de 109%. Il omet de préciser que le total pour ces trois mois s’élevait à juste 3000.
Pour Xavier-Luc Duval le secteur du tourisme fait face à une crise sans précédent depuis ces 10 dernières années. Mais Anil Gayan s’est voulu rassurant. La situation n’est pas aussi grave… attendons la fin de l’année, a-t-il souligné.
La guerre des chiffres
Et pourtant, les deux se sont basés sur les chiffres de Statistics Mauritius. Si pour Xavier-Luc Duval, il est temps de séparer les croisiéristes qui viennent par bateau et qui restent un ou deux jours à Maurice mais en logeant sur leurs navires et ceux qui viennent à Maurice par avion. Ces derniers restent, en général, une dizaine de jours dans l’île.
Mais selon Anil Gayan cette séparation ne peut se faire et a souligné que sont comptabilisés comme touristes que ceux qui descendent de navire.
Xavier-Luc Duval a mis l’accent sur les chiffres négatifs de ces trois derniers mois, notamment sur des marchés porteurs. Mais Anil Gayan a indiqué que la baisse n’est pas aussi conséquente que Xavier-Luc Duval voudrait le faire accroire.
Si il a bien voulu reconnaître une baisse de performance sur certains marchés, il rejette la responsabilité sur Air Mauritius qui a supprimé 24 vols et 7200 voyageurs sur la Chine, l'Inde, 17 vols et 5 100 Indiens en moins et l’Angleterre 13 vols annulés, soit quelque 4 000 sièges.
D'autres facteurs ont été énoncé pour justifier cette baisse : les vacances de Pâques qui ont eu lieu en avril cette année au lieu de mars, les attaques terroristes, les gilets jaunes en France et bien sûr le Brexit et d'affirmer :
«Maurice n’a ni tour Eiffel, ni Buckingham Palace, ni Bob Marley».
Si il prévoit cependant une hausse dans les arrivées bientôt en citant en exemple le tourisme saoudien qui a connu une augmentation de 109%. Il omet de préciser que le total pour ces trois mois s’élevait à juste 3000.