Samedi, les formations politiques de l'opposition n'ont pas manqué d'évoquer ce sujet lors de leur conférence de presse hebdomadaire.
Ainsi, le leader de l'opposition, Xavier-Luc Duval, a déclaré que c'est un Select Committee qu'il aurait fallu instituer pour étudier les recommandations faites par la Commission d'enquête sur la drogue.
Le choix d'une Task Force, selon lui, relève du trompe-l'œil. Mais le leader du PMSD a surtout affirmé publiquement que ni son parti « et encore moins la population » ne font confiance à Navin Beekarry, le directeur de la commission anticorruption (Icac), choisi pour présider cette instance.
Le patron de l'Icac ne trouve pas grâce non plus aux yeux du leader du MMM. Paul Bérenger, en conférence de presse toujours, a qualifié sa nomination comme président de la Task Force de «farce cynique ». Il est allé jusqu'à affirmer que Navin Beekarry n'a « plus aucune crédibilité ».
Concernant la Task Force, le leader du MMM estime qu'elle est tout simplement « illégale ». Il s'appuie notamment sur le fait que le commissaire de police, qui est un poste prévu dans la constitution, devra siéger au sein d'un comité qui sera présidé par un nominé politique.
La polémique n'est donc pas prête de s'éteindre.
Ainsi, le leader de l'opposition, Xavier-Luc Duval, a déclaré que c'est un Select Committee qu'il aurait fallu instituer pour étudier les recommandations faites par la Commission d'enquête sur la drogue.
Le choix d'une Task Force, selon lui, relève du trompe-l'œil. Mais le leader du PMSD a surtout affirmé publiquement que ni son parti « et encore moins la population » ne font confiance à Navin Beekarry, le directeur de la commission anticorruption (Icac), choisi pour présider cette instance.
Le patron de l'Icac ne trouve pas grâce non plus aux yeux du leader du MMM. Paul Bérenger, en conférence de presse toujours, a qualifié sa nomination comme président de la Task Force de «farce cynique ». Il est allé jusqu'à affirmer que Navin Beekarry n'a « plus aucune crédibilité ».
Concernant la Task Force, le leader du MMM estime qu'elle est tout simplement « illégale ». Il s'appuie notamment sur le fait que le commissaire de police, qui est un poste prévu dans la constitution, devra siéger au sein d'un comité qui sera présidé par un nominé politique.
La polémique n'est donc pas prête de s'éteindre.