Ils font l'exotisme des rues de l'île Maurice, avec le bric-à-brac de leurs étals ambulants allant de la soupe de nouilles aux dull puri. Mais les autorités ont décidé de faire place nette, menaçant tout un pan de l'économie informelle, pourvoyeur de milliers d'emplois.
Eux, ce sont les incontournables, du vendeur de noix de coco ou T-shirts de contrefaçon, vendeurs de sacs imitant les sacs de luxe ou du marchand de mangues confits. Ils font partie du charme de Maurice. Mais le charme doit être accompagné d'un peu d'ordre, avec un «retour des trottoirs aux piétons».
Ces centaines de personnes qui gagnent leur vie dans les cantines ambulantes ne gagneront plus leur vie dans la rue. Du moins, tant qu'ils ne sont pas enregistrés. Une politique menée également à Singapour et à Bangkok, qui connait pourtant ses limites.
Pourtant, à Maurice, sous prétexte que ces colporteurs opèrent illégalement le long des autoroutes et des routes principales et représenteraient de graves dangers pour la circulation routière, le Conseil des ministres informe aux marchands ambulants et le public en général que c'est une infraction d'empiéter sur la route ou la réserve de route sans autorisation de la Highway Authority.
De ce fait, des opérations seront menées pour sensibiliser et avertir verbalement les colporteurs illégaux, puis des actions et sanctions appropriées seront engagées contre eux. En dernier recours, toutes les structures appartenant aux marchands ambulants sur les autoroutes et les voies de contournement seront démantelées et supprimées conformément au cadre législatif en vigueur.
Eux, ce sont les incontournables, du vendeur de noix de coco ou T-shirts de contrefaçon, vendeurs de sacs imitant les sacs de luxe ou du marchand de mangues confits. Ils font partie du charme de Maurice. Mais le charme doit être accompagné d'un peu d'ordre, avec un «retour des trottoirs aux piétons».
Ces centaines de personnes qui gagnent leur vie dans les cantines ambulantes ne gagneront plus leur vie dans la rue. Du moins, tant qu'ils ne sont pas enregistrés. Une politique menée également à Singapour et à Bangkok, qui connait pourtant ses limites.
Pourtant, à Maurice, sous prétexte que ces colporteurs opèrent illégalement le long des autoroutes et des routes principales et représenteraient de graves dangers pour la circulation routière, le Conseil des ministres informe aux marchands ambulants et le public en général que c'est une infraction d'empiéter sur la route ou la réserve de route sans autorisation de la Highway Authority.
De ce fait, des opérations seront menées pour sensibiliser et avertir verbalement les colporteurs illégaux, puis des actions et sanctions appropriées seront engagées contre eux. En dernier recours, toutes les structures appartenant aux marchands ambulants sur les autoroutes et les voies de contournement seront démantelées et supprimées conformément au cadre législatif en vigueur.
