Il n’a pas fait dans la dentelle. Lors de la réunion des créanciers, Sattar Hajee Abdoula a été clair. Il a insisté pour le vote du plan de sauvetage. Ne pas voter le nouvel accord avec la compagnie, a-t-il déclaré, équivaut à placer Air Mauritius en liquidation.
Si officiellement, il y a trois options sur la table, les créanciers ont compris cet après-midi qu’il n’y en avait que deux. Soit voter le plan de sauvetage et récupérer entre 50% et 65% de leurs réclamations (dépendant des cas) ou alors placer la compagnie en liquidation.
En fait, les deux autres options, soit la mise en liquidation ou la fin de l’administration volontaire, c’est-à-dire le retour de la compagnie à ses directeurs avec ses dettes, signifient la même chose. C’est ce que Satar Hajee Abdoula a déclaré. Les créanciers ont jusqu’à 11 heures ce mercredi pour voter.
Si officiellement, il y a trois options sur la table, les créanciers ont compris cet après-midi qu’il n’y en avait que deux. Soit voter le plan de sauvetage et récupérer entre 50% et 65% de leurs réclamations (dépendant des cas) ou alors placer la compagnie en liquidation.
En fait, les deux autres options, soit la mise en liquidation ou la fin de l’administration volontaire, c’est-à-dire le retour de la compagnie à ses directeurs avec ses dettes, signifient la même chose. C’est ce que Satar Hajee Abdoula a déclaré. Les créanciers ont jusqu’à 11 heures ce mercredi pour voter.