C’est l’hécatombe ! Après Vinay Sobrun et une vingtaine de membres de la régionale du no 6, voilà Sangeet Fowdar aussi qui claque la porte du MMM.
Lui aussi, tout comme Vinay Sobrun, avait déjà quitté les mauves avant d’y retourner la queue entre les jambes. Voilà que, comme Sobrun, Fowdar part de nouveau. Lui aussi a évoqué plusieurs arguments qui ne tiennent pas la route.
Sangeet Fowdar, rappelons-le, représente le système pourri du MMM et des autres formations locales dans le pays. Vice-président d’une association socioculturelle représentant les rajputs, il avait envoyé sa candidature un peu partout en 2000. Paul Bérenger a jeté son dévolu sur lui. La veille des élections, il avait obtenu un ticket du MMM alors qu’il n’était même pas membre de ce parti. Élu, il devient ministre.
En 2005, il perd et prend ses distances du MMM pour aller travailler à l’étranger. Il revient en 2010. Il perd. Il reprend ses distances. Il revient de nouveau en 2014. Mais la porte lui est fermée. Il s’en va alors avec Collendavelloo et son naissant Muvman Liberater. Il est élu. Il veut un ministère mais doit se contenter d’un siège à l’arrière. Il sera une épine dans les pieds d’Ivan Collendavelloo. En 2019, il est privé de ticket. Il retourne au MMM par la suite. Et là, il repart ! Bon dieu !
Lui aussi, tout comme Vinay Sobrun, avait déjà quitté les mauves avant d’y retourner la queue entre les jambes. Voilà que, comme Sobrun, Fowdar part de nouveau. Lui aussi a évoqué plusieurs arguments qui ne tiennent pas la route.
Sangeet Fowdar, rappelons-le, représente le système pourri du MMM et des autres formations locales dans le pays. Vice-président d’une association socioculturelle représentant les rajputs, il avait envoyé sa candidature un peu partout en 2000. Paul Bérenger a jeté son dévolu sur lui. La veille des élections, il avait obtenu un ticket du MMM alors qu’il n’était même pas membre de ce parti. Élu, il devient ministre.
En 2005, il perd et prend ses distances du MMM pour aller travailler à l’étranger. Il revient en 2010. Il perd. Il reprend ses distances. Il revient de nouveau en 2014. Mais la porte lui est fermée. Il s’en va alors avec Collendavelloo et son naissant Muvman Liberater. Il est élu. Il veut un ministère mais doit se contenter d’un siège à l’arrière. Il sera une épine dans les pieds d’Ivan Collendavelloo. En 2019, il est privé de ticket. Il retourne au MMM par la suite. Et là, il repart ! Bon dieu !