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Un cas assez particulier. Une jeune étudiante, originaire de Phœnix, intente un procès en réclamation à Air France et à Air Mauritius.
Elle leur réclame conjointement des dommages de Rs 25 millions. L’affaire avait été appelée le 6 février dernier en cour suprême.
La jeune femme qui poursuit des études supérieures au Canada dit avoir été victime d’un incident le 13 novembre 2015, à bord d’un vol en partance pour Paris.
Selon l’étudiante, durant le trajet un autre passager lui a uriné dessus alors qu’elle dormait. Elle n’est pas contente de la réaction du personnel navigant à la suite de l’incident. Elle soutient qu’elle a dû s’envoler pour Montréal avec les mêmes vêtements.
Elle réclame réparation, indiquant que la proposition de 300 euros, en guise de compensation, faite par Air France Ltd est trop basse.
Soulignons que le 6 février 2019, devant la Deputy Master and Registrar Ratna Seetohul-Toolsee, les deux représentants légaux de la passagère ont demandé à se retirer de l’affaire.
Ils soutiennent que leur cliente a fait des allégations « frivoles » à leur encontre. Ce qui fait qu’ils ne peuvent plus la représenter.
L’affaire a été ajournée à une date ultérieure, afin de permettre à l’étudiante de se trouver un autre avocat.
Elle leur réclame conjointement des dommages de Rs 25 millions. L’affaire avait été appelée le 6 février dernier en cour suprême.
La jeune femme qui poursuit des études supérieures au Canada dit avoir été victime d’un incident le 13 novembre 2015, à bord d’un vol en partance pour Paris.
Selon l’étudiante, durant le trajet un autre passager lui a uriné dessus alors qu’elle dormait. Elle n’est pas contente de la réaction du personnel navigant à la suite de l’incident. Elle soutient qu’elle a dû s’envoler pour Montréal avec les mêmes vêtements.
Elle réclame réparation, indiquant que la proposition de 300 euros, en guise de compensation, faite par Air France Ltd est trop basse.
Soulignons que le 6 février 2019, devant la Deputy Master and Registrar Ratna Seetohul-Toolsee, les deux représentants légaux de la passagère ont demandé à se retirer de l’affaire.
Ils soutiennent que leur cliente a fait des allégations « frivoles » à leur encontre. Ce qui fait qu’ils ne peuvent plus la représenter.
L’affaire a été ajournée à une date ultérieure, afin de permettre à l’étudiante de se trouver un autre avocat.
