Le leader du MMM était face à la presse ce matin. Un des sujets abordés a été Landscope Mauritius.
Paul Bérenger est revenu sur toute l’affaire de transfert souhaité, décidé mais finalement avorté de terres de l’État à des promoteurs. Paul Bérenger a abordé les propos tenus par Gérard Sanspeur dans la presse et tout ce qui a été dit à l’Assemblée nationale mardi.
Rappelons que c’est après la réception d’un avis légal du State Law Office que le projet a été avorté. Le Parquet est d’avis que cela constituerait uns infraction à l’équité procédurale. Pour Paul Bérenger, il est grand temps de révoquer le board de Landscope Mauritius. Le leader du MMM réclame aussi une copie de l'avis légal du State Law Office.
Le leader du MMM a aussi abordé la transformation de l’hôtel Voilà Bagatelle en centre de quarantaine.
Il affirme qu’il est impensable d’établir une zone de quarantaine à proximité d’un centre commercial. Cela, précise-t-il, même si l’on prend toutes les mesures sanitaires et de sécurité voulues. Paul Bérenger estime qu’il y a manque de transparence dans l’histoire et égratigne le ministre de la Santé qui, selon lui, a dit au Parlement qu’il y aura d’autres établissements de ce genre.
Paul Bérenger est revenu sur toute l’affaire de transfert souhaité, décidé mais finalement avorté de terres de l’État à des promoteurs. Paul Bérenger a abordé les propos tenus par Gérard Sanspeur dans la presse et tout ce qui a été dit à l’Assemblée nationale mardi.
Rappelons que c’est après la réception d’un avis légal du State Law Office que le projet a été avorté. Le Parquet est d’avis que cela constituerait uns infraction à l’équité procédurale. Pour Paul Bérenger, il est grand temps de révoquer le board de Landscope Mauritius. Le leader du MMM réclame aussi une copie de l'avis légal du State Law Office.
Le leader du MMM a aussi abordé la transformation de l’hôtel Voilà Bagatelle en centre de quarantaine.
Il affirme qu’il est impensable d’établir une zone de quarantaine à proximité d’un centre commercial. Cela, précise-t-il, même si l’on prend toutes les mesures sanitaires et de sécurité voulues. Paul Bérenger estime qu’il y a manque de transparence dans l’histoire et égratigne le ministre de la Santé qui, selon lui, a dit au Parlement qu’il y aura d’autres établissements de ce genre.