C’est ce qui s’appelle donner un tour de vis ! Et comment… Pour le rallye de la Plateforme citoyenne pour la liberté d’expression, la police a certes donné son accord. Mais elle imposé des conditions drastiques… de sorte à faire réfléchir à deux, quitte trois fois, tout organisateur de manifestation.
En effet, les 22 conditions de l’équipe d’Anil Kumar Dop sont jugées « excessives ». Néanmoins, pour l’instant, le rallye est maintenu. Et pour cause ! Difficile désormais de faire marche arrière après avoir parcouru autant de chemin. C’est la raison pour laquelle Dev Sunnasy, l’un des dirigeants, a réclamé une rencontre avec le Commissaire de police par intérim.
Ses camarades et lui souhaitent un assouplissement de ces mesures « excessives et exagérées ». La situation fait d’ailleurs dire à Rajen Narsinghen, Senior Lecturer en droit à l’université de Maurice, que la police « veut que le défilé soit comme une veillée mortuaire ». Parmi les conditions imposées, les manifestants n’auront pas le droit d’utiliser des haut-parleurs, des porte-voix et même le klaxon.
En effet, les 22 conditions de l’équipe d’Anil Kumar Dop sont jugées « excessives ». Néanmoins, pour l’instant, le rallye est maintenu. Et pour cause ! Difficile désormais de faire marche arrière après avoir parcouru autant de chemin. C’est la raison pour laquelle Dev Sunnasy, l’un des dirigeants, a réclamé une rencontre avec le Commissaire de police par intérim.
Ses camarades et lui souhaitent un assouplissement de ces mesures « excessives et exagérées ». La situation fait d’ailleurs dire à Rajen Narsinghen, Senior Lecturer en droit à l’université de Maurice, que la police « veut que le défilé soit comme une veillée mortuaire ». Parmi les conditions imposées, les manifestants n’auront pas le droit d’utiliser des haut-parleurs, des porte-voix et même le klaxon.