Tout lui sourit ! Ce mardi, lors de l’inauguration d’un tronçon de la nouvelle route reliant La Vigie à La Brasserie, Pravind Jugnauth était toutes dents dehors. Et pour cause ! Sur le plan politique, ses adversaires lui rendent la tâche facile. Trop simple.
D’abord, et cela revient souvent, le fait qu’on lui associe tous les péchés d’Israël. « Ces derniers, tout ce qui arrive, on dit que c’est de la faute à Pravind Jugnauth. Un dirigeant de l’Espoir qui traite un dirigeant du PTr de menteur et de fou, c’est la faute à Pravind Jugnauth. Le contraire aussi, c’est la faute à Pravind Jugnauth. Un dirigeants du MMM qui boit du (poison) lysol, c’est aussi la faute à Pravind Jugnauth », a-t-il déclaré.
Et, tout sourire, il a déclaré qu’on ne peut avoir dans le même panier, un lion, un requin, un coq et un corbeau. « Chacun va tenter de bouffer son prochain », a-t-il ajouté. Et d’ajouter qu’il a une équipe dont il est fier et qu’à la fin, ce qui importe, c’est que les gens vont trouver où en est le pays et le progrès accompli. Et cela, malgré les circonstances défavorables !
Pravind Jugnauth a ciblé, comme à son habitude, Paul Bérenger. Il s’est demandé si leader mauve avait encore de la crédibilité. Il a aussi trouvé étonnant que Ramgoolam et Bérenger discutent des principaux postes à distribuer à 3 ans des élections. « Des positions fantômes », a-t-il précisé. Concernant la position du Foreign Office sur les Chagos, Pravind Jugnauth a déclaré que le Royaume-Uni fait pitié.
Et, preuve qu’il est en forme, à la fin de la séance des questions-réponses, Paravind Jugnauth a invité les journalistes à parcourir un bout de chemin « dans ma McLaren ».
D’abord, et cela revient souvent, le fait qu’on lui associe tous les péchés d’Israël. « Ces derniers, tout ce qui arrive, on dit que c’est de la faute à Pravind Jugnauth. Un dirigeant de l’Espoir qui traite un dirigeant du PTr de menteur et de fou, c’est la faute à Pravind Jugnauth. Le contraire aussi, c’est la faute à Pravind Jugnauth. Un dirigeants du MMM qui boit du (poison) lysol, c’est aussi la faute à Pravind Jugnauth », a-t-il déclaré.
Et, tout sourire, il a déclaré qu’on ne peut avoir dans le même panier, un lion, un requin, un coq et un corbeau. « Chacun va tenter de bouffer son prochain », a-t-il ajouté. Et d’ajouter qu’il a une équipe dont il est fier et qu’à la fin, ce qui importe, c’est que les gens vont trouver où en est le pays et le progrès accompli. Et cela, malgré les circonstances défavorables !
Pravind Jugnauth a ciblé, comme à son habitude, Paul Bérenger. Il s’est demandé si leader mauve avait encore de la crédibilité. Il a aussi trouvé étonnant que Ramgoolam et Bérenger discutent des principaux postes à distribuer à 3 ans des élections. « Des positions fantômes », a-t-il précisé. Concernant la position du Foreign Office sur les Chagos, Pravind Jugnauth a déclaré que le Royaume-Uni fait pitié.
Et, preuve qu’il est en forme, à la fin de la séance des questions-réponses, Paravind Jugnauth a invité les journalistes à parcourir un bout de chemin « dans ma McLaren ».