Près de trois mois après les élections générales, Pravind Jugnauth ne digère toujours pas sa victoire qui lui a laissé un arrière-goût. Dans un nouveau plaidoyer, il a demandé à ses adversaires, «les perdants» d’accepter le choix de la population, pour le laisser travailler.
C'est donc un chef du gouvernement très contesté par la population et les membres de l'opposition qui se sent de nouveau obliger de quémander un soutien qu'il n'a pas, en cherchant des arguments pour convaincre :
« Accuser la commission électorale d’être un parti est du jamais vu et c’est un manque de respect à nos institutions. ». Il n'a pas hésité à tacler et fustiger les "mauvais perdants" rappelant que «dans le passé j’ai moi-même perdu et j’ai accepté les règles du jeu.»
Commentant les résultats des dernières législatives, le Premier ministre a comparé la tenue des élections avec un match de foot. « Le match se tient entre deux parties et par un arbitre. Après les 90 minutes, il y a un gagnant et il faut l’accepter. On ne peut pas maintenant venir dire que l’arbitre, qui est la commission électorale, est un parti pris. »
De quoi Pravind Jugnauth a t-il peur ?
Elément de réponse de Paul Bérenger hier en conférence de presse : il y a une tentative de faire traîner les choses au niveau de la cour suprême. Et cela, a-t-il déploré, grâce à une complicité entre le gouvernement et le Speaker de l’Assemblée nationale. Car pour le leader du MMM, si Ivan Collendavelloo « tombe » après un éventuel nouveau décompte des voix, c’est la fin de ce gouvernement.
Rappelons que 12 pétitions électorales ont été déposées par dix candidats battus et deux électeurs. Les pétitionnaires contestent les résultats des élections législatives de 2019 dans dix circonscriptions du pays.
C'est donc un chef du gouvernement très contesté par la population et les membres de l'opposition qui se sent de nouveau obliger de quémander un soutien qu'il n'a pas, en cherchant des arguments pour convaincre :
« Accuser la commission électorale d’être un parti est du jamais vu et c’est un manque de respect à nos institutions. ». Il n'a pas hésité à tacler et fustiger les "mauvais perdants" rappelant que «dans le passé j’ai moi-même perdu et j’ai accepté les règles du jeu.»
Commentant les résultats des dernières législatives, le Premier ministre a comparé la tenue des élections avec un match de foot. « Le match se tient entre deux parties et par un arbitre. Après les 90 minutes, il y a un gagnant et il faut l’accepter. On ne peut pas maintenant venir dire que l’arbitre, qui est la commission électorale, est un parti pris. »
De quoi Pravind Jugnauth a t-il peur ?
Elément de réponse de Paul Bérenger hier en conférence de presse : il y a une tentative de faire traîner les choses au niveau de la cour suprême. Et cela, a-t-il déploré, grâce à une complicité entre le gouvernement et le Speaker de l’Assemblée nationale. Car pour le leader du MMM, si Ivan Collendavelloo « tombe » après un éventuel nouveau décompte des voix, c’est la fin de ce gouvernement.
Rappelons que 12 pétitions électorales ont été déposées par dix candidats battus et deux électeurs. Les pétitionnaires contestent les résultats des élections législatives de 2019 dans dix circonscriptions du pays.