Il est venu, il a inauguré et il a critiqué encore une fois les médias. Mais c’est la version « soft » qu’on a eu de Pravind Jugnauth mardi à Palmerstone, Vacoas, où il inaugurait un fly-over sur l’avenue Sivananda. Il faut dire qu’on le préfère ainsi Pravind Jugnauth. Il n’a pas ménagé les médias. Il a tenu le même discours, ou presque, que dans ses congrès. Mais c’était plus correct. Plus civilisé !
Le Premier ministre a déclaré qu’il ne comprend pas que certains médias disent des faussetés et des mensonges sur son compte. Le langage n’est pas nouveau ! Il a aussi déclaré qu’il estime nécessaire de descendre sur le terrain et de s’adresser directement à la population à travers ces congrès. Ce n’est pas nouveau également ! Tous les leaders politiques qui ont des meetings/réunions/rassemblements disent la même chose ou presque !
Pravind Jugnauth a aussi déclaré, à plusieurs reprises, qu’il peut accepter que certains politiciens fassent toutes sortes de critiques, fausses selon lui, à son compte. Mais ce qu’il ne comprend pas, à l’entendre, c’est que des médias aussi se rendent coupables de cela. Ou alors qu’ils ne lui donnent pas le même traitement qu’à ses adversaires. C’est, en fait, la seule critique valable de Pravind Jugnauth. Il a tort. Il connait mal le fonctionnement des médias. Mais nous n’allons pas, ici, entrer dans les détails.
Ce n’est pas de la faute des médias si son gouvernement communique mal. Et cela, pour plusieurs raisons. D’abord, sur ce plan, Ken Arian était beaucoup plus efficace. Il appelait les médias – pas tous évidemment – pour donner le point de vue du gouvernement et pour défendre son « seigneur et maître ». C’est à mettre à son actif. De plus, comme c’est le Premier ministre en personne qui est visé par des scandales, aucun ministre n’ose se hisser à sa défense… de peur de commettre des bêtises.
C’est le propre du politicien de défendre son camp, des fois sans même connaître les détails. Ou alors pas tous ! Mais quand c’est le patron qu’il s’agit de défendre, on fait attention. Pas parce qu’on ne veille pas se porter à sa rescousse, car c’est le meilleur moyen d’obtenir une nouvelle investiture, mais parce que toute faute aura des conséquences fâcheuses. Maintenant, le Premier ministre préfère s’exprimer en cour. C’est son droit ! Mais les médias ne vont pas attendre que le Prince se décide à parler…
Le Premier ministre a déclaré qu’il ne comprend pas que certains médias disent des faussetés et des mensonges sur son compte. Le langage n’est pas nouveau ! Il a aussi déclaré qu’il estime nécessaire de descendre sur le terrain et de s’adresser directement à la population à travers ces congrès. Ce n’est pas nouveau également ! Tous les leaders politiques qui ont des meetings/réunions/rassemblements disent la même chose ou presque !
Pravind Jugnauth a aussi déclaré, à plusieurs reprises, qu’il peut accepter que certains politiciens fassent toutes sortes de critiques, fausses selon lui, à son compte. Mais ce qu’il ne comprend pas, à l’entendre, c’est que des médias aussi se rendent coupables de cela. Ou alors qu’ils ne lui donnent pas le même traitement qu’à ses adversaires. C’est, en fait, la seule critique valable de Pravind Jugnauth. Il a tort. Il connait mal le fonctionnement des médias. Mais nous n’allons pas, ici, entrer dans les détails.
Ce n’est pas de la faute des médias si son gouvernement communique mal. Et cela, pour plusieurs raisons. D’abord, sur ce plan, Ken Arian était beaucoup plus efficace. Il appelait les médias – pas tous évidemment – pour donner le point de vue du gouvernement et pour défendre son « seigneur et maître ». C’est à mettre à son actif. De plus, comme c’est le Premier ministre en personne qui est visé par des scandales, aucun ministre n’ose se hisser à sa défense… de peur de commettre des bêtises.
C’est le propre du politicien de défendre son camp, des fois sans même connaître les détails. Ou alors pas tous ! Mais quand c’est le patron qu’il s’agit de défendre, on fait attention. Pas parce qu’on ne veille pas se porter à sa rescousse, car c’est le meilleur moyen d’obtenir une nouvelle investiture, mais parce que toute faute aura des conséquences fâcheuses. Maintenant, le Premier ministre préfère s’exprimer en cour. C’est son droit ! Mais les médias ne vont pas attendre que le Prince se décide à parler…