@ Steeve Goindoorajoo
On s'active à Port-Louis avant la manifestation de ce samedi 13 février, organisée par l'opposition où participeront également différentes plateformes citoyennes. Vu des petits bonhommes s'activer à "nettoyer" les caméras de surveillance non loin du lieu de rassemblement.
La crainte d’une manifestation de l'ampleur du 19 août inquiète le gouvernement.
Des affiches et des banderoles ont été enlevées dans une opération de nettoyage en faisant appel au personnel des municipalités à travers l'île. A noter que des attachés de presse, anciens journalistes d'une radio privée, mènent sans relâche, une campagne sur les réseaux sociaux pour décourager les Mauriciens à se rendre à Port-Louis, ce samedi 13 février. Le mort d'ordre : annoncé le retour de Navin Ramgoolam, obsession et ennemi juré des Jugnauth père et fils. Ils n'hésitent pas à mouiller la chemise, inondant de commentaires certaines publications, alimentées par des anciens de la presse, qui ont la rancune tenace envers l'ancien régime.
Prolifération de «fake profile» sur Facebook
L'arme numérique est utilisée à chaque fois que le gouvernement est en perte de vitesse. Une agence qui a pignon sur rue à Ebène, spécialisée dans la création de "trolls" publient à grand débit des commentaires pro gouvernementales et "fake news". Leur but, inciter les Mauriciens à ne pas se déplacer dans la capitale ce samedi.
La crainte d’une manifestation de l'ampleur du 19 août inquiète le gouvernement.
Des affiches et des banderoles ont été enlevées dans une opération de nettoyage en faisant appel au personnel des municipalités à travers l'île. A noter que des attachés de presse, anciens journalistes d'une radio privée, mènent sans relâche, une campagne sur les réseaux sociaux pour décourager les Mauriciens à se rendre à Port-Louis, ce samedi 13 février. Le mort d'ordre : annoncé le retour de Navin Ramgoolam, obsession et ennemi juré des Jugnauth père et fils. Ils n'hésitent pas à mouiller la chemise, inondant de commentaires certaines publications, alimentées par des anciens de la presse, qui ont la rancune tenace envers l'ancien régime.
Prolifération de «fake profile» sur Facebook
L'arme numérique est utilisée à chaque fois que le gouvernement est en perte de vitesse. Une agence qui a pignon sur rue à Ebène, spécialisée dans la création de "trolls" publient à grand débit des commentaires pro gouvernementales et "fake news". Leur but, inciter les Mauriciens à ne pas se déplacer dans la capitale ce samedi.
