Comment faire entrer de l'argent dans les caisses de l'Etat ? Simple, selon cette circulaire. La police a bien compris, il faut faire du chiffre quitte à passer pour des imbéciles.
Alors qu'ailleurs les masques tombent et les restrictions sanitaires sont assouplies ou bannies, à Maurice, les policiers sont mobilisés à travers l’île pour assurer que les règlements sanitaires imposés par le gouvernement soient respectés. Rappelons que toute infraction est passible d’une amende allant jusqu’à Rs 500 000 et de 5 ans d'emprisonnement. Toute condamnation pour ce type de délits figurera sur le certificat de caractère du contrevenant.
Le port-aux-roses est découvert. Un document signé et daté du jeudi 5 mai, par un haut gradé demandant aux officiers des postes de police de remplir un quota de cinq contraventions pour non-port du masque sur une base quotidienne, fait polémique...avec raison.
Reste à savoir si l’idée de maintenir pour non-respect du port du masque, un quota de cinq contraventions au quotidien, vient des âmes damnées opérant dans l’ombre ! Nous avons un système bizarre où la police est chargée de faire respecter la loi et le DPP de traduire les gens devant la justice. Sauf que le DPP n’est pas le patron de la police. C’est le Commissaire de police qui est le big boss et il est, d’une certaine façon et dépendant de la personnalité du titulaire, le laquais du Premier ministre.
Alors qu'ailleurs les masques tombent et les restrictions sanitaires sont assouplies ou bannies, à Maurice, les policiers sont mobilisés à travers l’île pour assurer que les règlements sanitaires imposés par le gouvernement soient respectés. Rappelons que toute infraction est passible d’une amende allant jusqu’à Rs 500 000 et de 5 ans d'emprisonnement. Toute condamnation pour ce type de délits figurera sur le certificat de caractère du contrevenant.
Le port-aux-roses est découvert. Un document signé et daté du jeudi 5 mai, par un haut gradé demandant aux officiers des postes de police de remplir un quota de cinq contraventions pour non-port du masque sur une base quotidienne, fait polémique...avec raison.
Reste à savoir si l’idée de maintenir pour non-respect du port du masque, un quota de cinq contraventions au quotidien, vient des âmes damnées opérant dans l’ombre ! Nous avons un système bizarre où la police est chargée de faire respecter la loi et le DPP de traduire les gens devant la justice. Sauf que le DPP n’est pas le patron de la police. C’est le Commissaire de police qui est le big boss et il est, d’une certaine façon et dépendant de la personnalité du titulaire, le laquais du Premier ministre.