On peut comprendre qu’ils défendent bec et ongles leur client. Mais il y a tout de même un pas à ne pas franchir. « Nous sommes arrivés à la conclusion que John McAreavey doit être un suspect principal dans cette affaire », a déclaré Me Neelkanth Dulloo. L’homme de loi est mieux lorsqu’il utilise l’humour. Dans la bêtise, c’est quelque peu limite ! C’est la raison qui étonne.
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Dulloo et les autres supposés ténors du barreau, au pénal, a soutenu que John McAreavey est venu à Maurice à plusieurs reprises et a rencontré plusieurs personnes. Rien que ça ! À se demander si un assassin reviendrait dans un pays où son épouse a été assassinée. Ravi Rutnah aussi y est allé de son couplet. Il fait, dit-il, vérifier la transcription du contre-interrogatoire de John McAreavey au tribunal en 2011 et le comparer à sa déposition à la police.
Murder in Mauritius Podcast : The dark side of a paradise island.
Heureusement que le ridicule ne tue pas. Car s’il y avait des différences entre le contre-interrogatoire et la version de McAreavey, Rutnah et consorts veulent nous faire croire qu’ils ne les auraient pas soulevées en cour. À moins qu’ils aient mal fait leur boulot à l’époque ! Notre objectif n’est pas de défendre John McAreavey, il faut le préciser. Mais il faut souligner lorsque des bêtises sont dires. En conférence de presse, qui plus est !
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Heureusement que le ridicule ne tue pas. Car s’il y avait des différences entre le contre-interrogatoire et la version de McAreavey, Rutnah et consorts veulent nous faire croire qu’ils ne les auraient pas soulevées en cour. À moins qu’ils aient mal fait leur boulot à l’époque ! Notre objectif n’est pas de défendre John McAreavey, il faut le préciser. Mais il faut souligner lorsque des bêtises sont dires. En conférence de presse, qui plus est !
