Officiellement, il devait partir à la retraite ce jeudi 31 janvier 2019. Mais le commissaire de police Mario Nobin a obtenu une extension. Il reste donc en poste jusqu’à juillet ou septembre prochain.
Les raisons derrière cette décision du gouvernement ne sont pas connues. En tout cas, Mario Nobin avait été informé en écrit que son dernier jour était ce jeudi.
Certains estiment que c’est la guerre ouverte entre les prétendants à sa succession – chacun s’appuyant sur des lobbies – qui motiverait cette décision. Ce conflit fait donc les affaires de l’actuel commissaire de police.
Mario Nobin a été nommé no 1 de la force policière le 21 avril 2015, donc par l’actuel gouvernement. Il compte 42 années de service. Mais il s’est retrouvé au centre de quelques polémiques.
Des policiers l’accusent de ne pas accorder une oreille compatissante à leurs doléances, notamment concernant le paiement dû des performance bonus.
Il y a eu aussi l’affaire du vol de letchis à son domicile, où le voleur a été arrêté et condamné le même jour.
Puis, il y a eu ses nombreux déplacements à l’étranger. Cela avait fait l’objet d’une interpellation à l’Assemblée nationale.
Les raisons derrière cette décision du gouvernement ne sont pas connues. En tout cas, Mario Nobin avait été informé en écrit que son dernier jour était ce jeudi.
Certains estiment que c’est la guerre ouverte entre les prétendants à sa succession – chacun s’appuyant sur des lobbies – qui motiverait cette décision. Ce conflit fait donc les affaires de l’actuel commissaire de police.
Mario Nobin a été nommé no 1 de la force policière le 21 avril 2015, donc par l’actuel gouvernement. Il compte 42 années de service. Mais il s’est retrouvé au centre de quelques polémiques.
Des policiers l’accusent de ne pas accorder une oreille compatissante à leurs doléances, notamment concernant le paiement dû des performance bonus.
Il y a eu aussi l’affaire du vol de letchis à son domicile, où le voleur a été arrêté et condamné le même jour.
Puis, il y a eu ses nombreux déplacements à l’étranger. Cela avait fait l’objet d’une interpellation à l’Assemblée nationale.
