Cette plateforme, qui regroupe plusieurs associations, a publié un document dont les recommandations vont susciter la controverse dans un pays à la mentalité étriquée.
Ainsi, le Kolektif réclame notamment une législation réprimant les violences homophobes et/ou transphobes ainsi que les discours de haine. Il demande aussi que la procédure de mise en place des protection orders soit facilitée mais aussi une section spécifique décrivant le viol conjugal dans la loi.
Le Kolektif veut aussi que la section 2 de la Protection from Domestic Violence Act inclus et définisse la violence verbale et la sextorsion entre autres. Passons aux recommandations plus polémiques. Le Kolektif veut que l’article 228 du code civil soit abrogé. Selon cet article, la femme ne peut contracter un nouveau mariage qu'après trois cents jours.
Il veut aussi que la loi permette à un individu transgenre de demander une rectification de son sexe au niveau de l’état civil alors même que son identité de genre ou de sexe ne correspond pas ou plus au sexe qui lui a été assigné à la naissance. Il réclame aussi que le mariage pour tous soit autorisé. Il réclame l’abrogation de la section 250 du Code Pénal qui criminalise la sodomie et que l'interruption volontaire de grossesse soit entièrement dépénalisée, en abrogeant la section 235 du Code Pénal.
Ainsi, le Kolektif réclame notamment une législation réprimant les violences homophobes et/ou transphobes ainsi que les discours de haine. Il demande aussi que la procédure de mise en place des protection orders soit facilitée mais aussi une section spécifique décrivant le viol conjugal dans la loi.
Le Kolektif veut aussi que la section 2 de la Protection from Domestic Violence Act inclus et définisse la violence verbale et la sextorsion entre autres. Passons aux recommandations plus polémiques. Le Kolektif veut que l’article 228 du code civil soit abrogé. Selon cet article, la femme ne peut contracter un nouveau mariage qu'après trois cents jours.
Il veut aussi que la loi permette à un individu transgenre de demander une rectification de son sexe au niveau de l’état civil alors même que son identité de genre ou de sexe ne correspond pas ou plus au sexe qui lui a été assigné à la naissance. Il réclame aussi que le mariage pour tous soit autorisé. Il réclame l’abrogation de la section 250 du Code Pénal qui criminalise la sodomie et que l'interruption volontaire de grossesse soit entièrement dépénalisée, en abrogeant la section 235 du Code Pénal.