C'est ce vendredi 28 avril que sera rendu publique la date du jugement du tribunal international sur le droit de la mer sur le cas de délimitation des frontières maritimes entre Maurice et les Maldives.
Les Maldives avaient joué les récalcitrants au début mais au final, leur position s’est adoucie. Mais c'est sans doute, les accusations de corruption qui risquent d'entacher ce jugement. En effet, le leader adjoint de l’opposition aux Maldives, Ahmed Fayaz, a formulé de graves allégations de corruption à l’encontre du président, Ibrahim Mohamed Solih. Il l’accuse d’avoir accepté un pot-de-vin de Rs 1,5 milliard du gouvernement mauricien pour changer la position de l’archipel sur le dossier des Chagos.
Après une motion avortée au Parlement, pour faire la transparence sur le sujet, Ahmed Fayaz évoque cette fois-ci un pot-de-vin à hauteur de Rs 1,5 milliard et d’une correspondance secrète signée Ibrahim Mohamed Solih et envoyée à Pravind Jugnauth en août 2022.
Selon Ahmed Fayaz, cet échange a été fait sans l’aval du Parlement maldivien et donc, en violation avec les articles 115 et 151 de la Constitution du pays. Le leader adjoint de l’opposition au Parlement de l’archipel réclame de ce fait la démission du président Ibrahim Mohamed Solih.
Rappelons que les Maldives sont en campagne présidentielle, pour les élections de septembre. Ibrahim Mohamed Solih, le président sortant, est candidat à un deuxième mandat.
Les Maldives avaient joué les récalcitrants au début mais au final, leur position s’est adoucie. Mais c'est sans doute, les accusations de corruption qui risquent d'entacher ce jugement. En effet, le leader adjoint de l’opposition aux Maldives, Ahmed Fayaz, a formulé de graves allégations de corruption à l’encontre du président, Ibrahim Mohamed Solih. Il l’accuse d’avoir accepté un pot-de-vin de Rs 1,5 milliard du gouvernement mauricien pour changer la position de l’archipel sur le dossier des Chagos.
Après une motion avortée au Parlement, pour faire la transparence sur le sujet, Ahmed Fayaz évoque cette fois-ci un pot-de-vin à hauteur de Rs 1,5 milliard et d’une correspondance secrète signée Ibrahim Mohamed Solih et envoyée à Pravind Jugnauth en août 2022.
Selon Ahmed Fayaz, cet échange a été fait sans l’aval du Parlement maldivien et donc, en violation avec les articles 115 et 151 de la Constitution du pays. Le leader adjoint de l’opposition au Parlement de l’archipel réclame de ce fait la démission du président Ibrahim Mohamed Solih.
Rappelons que les Maldives sont en campagne présidentielle, pour les élections de septembre. Ibrahim Mohamed Solih, le président sortant, est candidat à un deuxième mandat.
