Menu

Société

Les trois péchés capitaux du commissaire électoral et de l’ESC


Rédigé par E. Moris le Mardi 26 Novembre 2019



Pour le Mouvement Premier Mai, le commissaire électoral et l’Electoral Supervisory Commission ont commis trois fautes graves.

En premier lieu, le parti de Jack Bizlall estime que le Commissaire électoral n’aurait pas dû accepter la date des élections alors que son bureau n’était visiblement pas préparé pour l’organisation du scrutin. Il faut ajouter que les circonstances étaient assez particulières.

Le scrutin tombait en pleins examens, ce qui fait qu’une partie du personnel n’était pas disponible, tout comme les bâtiments servant de centres de vote. Sauf que, sur ce plan, il est à vérifier si le Commissaire électoral a son mot à dire. Il s’agit d’une prérogative du Premier ministre.

Le Mouvement Premier Mai estime aussi que le registre électoral comportait des failles. Et enfin, le parti s’interroge sur le contrôle des bulletins. Il s’étonne que plusieurs de ces documents strictement confidentiels soient dans la nature.

Toutefois, le Mouvement Premier Mai soutient qu’il n’appuie pas les contestations du MMM, du Parti Travailliste et du PMSD car ces partis n’évoquent pas le Best Loser System.

Mardi 26 Novembre 2019

Nouveau commentaire :

Règles communautaires

Nous rappelons qu’aucun commentaire profane, raciste, sexiste, homophobe, obscène, relatif à l’intolérance religieuse, à la haine ou comportant des propos incendiaires ne sera toléré. Le droit à la liberté d’expression est important, mais il doit être exercé dans les limites légales de la discussion. Tout commentaire qui ne respecte pas ces critères sera supprimé sans préavis.


LES PLUS LUS EN 24H