Le rapport de l’Audit, comme chaque année, évoque une série de critiques. Ainsi, dans le résumé, le directeur, Charanjivsingh Romooah, liste une série de problèmes rencontrés par son bureau.
Ainsi, il révèle qu’au 21 février 2022, le bureau n’avait pas reçu le bilan financier de 44 organismes publics. De plus, 11 bilans financiers, par rapport à 5 fonds spéciaux, n’avaient pas été soumis non plus. Le bureau de l’Audit soutient également qu’au 15 février 2022, 20 ministères et départements du gouvernement n’avaient pas soumis leurs rapports annuels pour l’année financière 2020-2021 au ministère des Finances. Cela, alors que l’année financière s’est terminée au 30 juin 2021.
Pour le bureau de l’Audit, cela relève du non-respect de la loi concernant la soumission des rapports. Dans le chapitre des critiques, l’Audit affirme aussi que certains bureaux du gouvernement opèrent sans certificat d’incendie valide, que dans certains contrats, les estimations de coûts ont été mal préparées.
Dans d’autres, ce sont les spécifications qui étaient inexactes. Tout cela a entraîné des retards dans les projets. Mais plus grave, l’Audit soutient que des travaux pour la construction de drains ont été démarrés en urgence dans des zones à haut risque d'inondation. Cependant deux ans après, ils n’étaient toujours pas achevés. Et l’Oscar de la meilleure bêtise : des paiements ont été effectués à un consultant pour la supervision de travaux non exécutés.
Ainsi, il révèle qu’au 21 février 2022, le bureau n’avait pas reçu le bilan financier de 44 organismes publics. De plus, 11 bilans financiers, par rapport à 5 fonds spéciaux, n’avaient pas été soumis non plus. Le bureau de l’Audit soutient également qu’au 15 février 2022, 20 ministères et départements du gouvernement n’avaient pas soumis leurs rapports annuels pour l’année financière 2020-2021 au ministère des Finances. Cela, alors que l’année financière s’est terminée au 30 juin 2021.
Pour le bureau de l’Audit, cela relève du non-respect de la loi concernant la soumission des rapports. Dans le chapitre des critiques, l’Audit affirme aussi que certains bureaux du gouvernement opèrent sans certificat d’incendie valide, que dans certains contrats, les estimations de coûts ont été mal préparées.
Dans d’autres, ce sont les spécifications qui étaient inexactes. Tout cela a entraîné des retards dans les projets. Mais plus grave, l’Audit soutient que des travaux pour la construction de drains ont été démarrés en urgence dans des zones à haut risque d'inondation. Cependant deux ans après, ils n’étaient toujours pas achevés. Et l’Oscar de la meilleure bêtise : des paiements ont été effectués à un consultant pour la supervision de travaux non exécutés.