C’est ce qui s’appelle enfoncer une porte ouverte ! Le dernier rapport de l’Ombudsperson for Children sur les Shelters ne nous apprend rien de nouveau.
Certes, il est accablant en ce qui concerne le fonctionnement des shelters. Rita Venkatasawmy parle de surpopulation et de manque de visite parentale. Il soutient aussi que l’environnement que propose nombre de ces établissements n’est pas idéal pour l’épanouissement des enfants.
Pour ce rapport, l’Ombudsperson for Children a visité ces shelters. Elle est arrivée à la conclusion qu’il ne faut pas avoir plus de 10 à 12 enfants par établissement. Elle va jusqu’à souligner que les responsables et le personnel ne sont pas conscients des dégâts de ces abris surpeuplés.
L’Ombudsperson for Children souligne aussi dans son rapport que le ratio soignants-enfants était élevé. Pour elle, cela affecte la qualité des soins. D’ailleurs, le rapport mentionne un shelter qui abrite plus de 25 enfants qui ne respecte aucun critière pour être qualifié comme tel. Rita Venkatasawmy évoque aussi l’absence de formation de base en psychologie pour une partie du personnel de ces shelters. Elle soutient qu’après le dîner, il n’y a pas d’activités concrètes.
Elle déplore le fait que, dans plusieurs shelters, les enfants n’ont droit qu’à un espace limité et n’ont pas d’espace de jeu. Sans oublier des bâtiments mal entretenus mais aussi sombres et tristes. L’Ombudsperson for Children dénonce aussi, dans son rapport, l’absence d’un programme individuel pour les pensionnaires. Elle soutient aussi que les pensionnaires de ces shelters ne reçoivent pas un nombre suffisant de visites parentales. Un rapport pour quoi ?
Certes, il est accablant en ce qui concerne le fonctionnement des shelters. Rita Venkatasawmy parle de surpopulation et de manque de visite parentale. Il soutient aussi que l’environnement que propose nombre de ces établissements n’est pas idéal pour l’épanouissement des enfants.
Pour ce rapport, l’Ombudsperson for Children a visité ces shelters. Elle est arrivée à la conclusion qu’il ne faut pas avoir plus de 10 à 12 enfants par établissement. Elle va jusqu’à souligner que les responsables et le personnel ne sont pas conscients des dégâts de ces abris surpeuplés.
L’Ombudsperson for Children souligne aussi dans son rapport que le ratio soignants-enfants était élevé. Pour elle, cela affecte la qualité des soins. D’ailleurs, le rapport mentionne un shelter qui abrite plus de 25 enfants qui ne respecte aucun critière pour être qualifié comme tel. Rita Venkatasawmy évoque aussi l’absence de formation de base en psychologie pour une partie du personnel de ces shelters. Elle soutient qu’après le dîner, il n’y a pas d’activités concrètes.
Elle déplore le fait que, dans plusieurs shelters, les enfants n’ont droit qu’à un espace limité et n’ont pas d’espace de jeu. Sans oublier des bâtiments mal entretenus mais aussi sombres et tristes. L’Ombudsperson for Children dénonce aussi, dans son rapport, l’absence d’un programme individuel pour les pensionnaires. Elle soutient aussi que les pensionnaires de ces shelters ne reçoivent pas un nombre suffisant de visites parentales. Un rapport pour quoi ?
