Suite aux dérapages du Speaker de l'assemblée Sooroojdev Phokeer, les élus travaillistes ont écrit au président de la République, depuis le mardi 3 août, quelques heures après l’intervention du speaker, qui a lancé «look at your face» à la face du député du Mouvement militant mauricien (MMM) Rajesh Bhagwan atteint de Vitilingo, une maladie de la peau... à onze reprises.
Dans leur lettre, copiée à la commission nationale des droits humains et à l’Organisation mondiale de la santé, ils demandent à Pradeep Roopun de prendre position, en accord avec son rôle visant à assurer que les droits fondamentaux soient respectés. Jusqu'ici leur doléance est restée lettre morte.
Le camouflet est venu d'ailleurs. Si le speaker a évoqué un "joke" pour sa défense, le «look at your face» répété à onze reprises à la face du député mauve franchit les frontières.
Au lendemain de ce dérapage, le président seychellois, Wavel Ramkalawan n'a pas hésité lors d'un point de presse mercredi, a évoqué l'affaire : «Notre parlement est beaucoup plus civilisé que celui de Maurice». En évoquant les travaux parlementaires aux Seychelles, il soutient que les parlementaires seychellois font leur travail dans le respect. Prenant à témoin les journalistes, il leur a demandé de vérifier à quel point les "standing orders" sont intransigeants.
Dans leur lettre, copiée à la commission nationale des droits humains et à l’Organisation mondiale de la santé, ils demandent à Pradeep Roopun de prendre position, en accord avec son rôle visant à assurer que les droits fondamentaux soient respectés. Jusqu'ici leur doléance est restée lettre morte.
Le camouflet est venu d'ailleurs. Si le speaker a évoqué un "joke" pour sa défense, le «look at your face» répété à onze reprises à la face du député mauve franchit les frontières.
Au lendemain de ce dérapage, le président seychellois, Wavel Ramkalawan n'a pas hésité lors d'un point de presse mercredi, a évoqué l'affaire : «Notre parlement est beaucoup plus civilisé que celui de Maurice». En évoquant les travaux parlementaires aux Seychelles, il soutient que les parlementaires seychellois font leur travail dans le respect. Prenant à témoin les journalistes, il leur a demandé de vérifier à quel point les "standing orders" sont intransigeants.