A l'ile Maurice, le divertissement vient principalement des politiciens, des avocats et des journalistes. Un journaliste qui court se réfugier dans les jupons d'une police qu'il critique à longueur de journée, c'est tout de même assez troublant.
Menacé par des membres de la Special Striking Team (SST), mercredi dernier, le journaliste de Top Fm Murvind Beetun était au CCID pour consigner une mesure préventive, en présence de son avocat Ashok Radhakissson.
Rappelons que l'ASP Ashik Jagai, patron de la Special Striking Team (SST) était l'invité dans l'émission Radar Lepep, sur Top Fm afin d'aborder différents thèmes en rapport à des allégations de "planting" entre autres. Selon différents témoignages, Murvind Beetun a reçu des menaces de la part des éléments de la SST à sa sortie des studios. Ces derniers étaient dans le bâtiment. Mais Jagai est intervenu pour calmer ses troupes. Certes, les policiers n'auraient pas dû réagir ainsi...mais il a bousculé leur patron. C'était sur le moment et non prémédité.
Voila où on en est, par mesure préventive, le journaliste se sent obliger de se rendre aux casernes "au cas où". Et les idiots de la SST qui sont formés pour arrêter de dangereux barons de la drogue, se rendent encore plus ridicule en se comportant comme des voyous mal élevés.
Menacé par des membres de la Special Striking Team (SST), mercredi dernier, le journaliste de Top Fm Murvind Beetun était au CCID pour consigner une mesure préventive, en présence de son avocat Ashok Radhakissson.
Rappelons que l'ASP Ashik Jagai, patron de la Special Striking Team (SST) était l'invité dans l'émission Radar Lepep, sur Top Fm afin d'aborder différents thèmes en rapport à des allégations de "planting" entre autres. Selon différents témoignages, Murvind Beetun a reçu des menaces de la part des éléments de la SST à sa sortie des studios. Ces derniers étaient dans le bâtiment. Mais Jagai est intervenu pour calmer ses troupes. Certes, les policiers n'auraient pas dû réagir ainsi...mais il a bousculé leur patron. C'était sur le moment et non prémédité.
Voila où on en est, par mesure préventive, le journaliste se sent obliger de se rendre aux casernes "au cas où". Et les idiots de la SST qui sont formés pour arrêter de dangereux barons de la drogue, se rendent encore plus ridicule en se comportant comme des voyous mal élevés.
