Le bébé Quirin avait été déclaré mort mais était bel et bien vivant. La petite avait même été placée dans une boîte de désinfection après l’accouchement. Mais heureusement que le bébé a commencé à pleurer. Car c’est ce qui a permis au personnel de constater qu’il était toujours vivant.
C’était le 5 février dernier à l’hôpital Jawaharlall Nehru à Rose-Belle. La maman a porté plainte pour négligence médicale. L’affaire a été référée au Medical Negligence Standing Committee. Cet organisme a bouclé son enquête.
Dans son rapport, le gynécologue et la généraliste qui se sont occupés de Virginie Quirin le jour de son accouchement sont blâmés. L’affaire a aussi été référée au conseil de l’Ordre des Médecins. Le Medical Negligence Standing Committee estime qu’il y a eu des « éléments clairs et sérieux » de mauvaise pratique de la part du médecin (gynécologue) en question.
Quant à l’autre médecin blâmé, une généraliste, le comité estime qu’elle aurait dû avoir montré plus de compassion. Le Medical Negligence Standing Commitee a référé le dossier au Medical Council pour une enquête approfondie. En attendant les conclusions de cette deuxième enquête, le gynécologue a été suspendu de ses fonctions. La généraliste a été mutée à un autre département.
C’était le 5 février dernier à l’hôpital Jawaharlall Nehru à Rose-Belle. La maman a porté plainte pour négligence médicale. L’affaire a été référée au Medical Negligence Standing Committee. Cet organisme a bouclé son enquête.
Dans son rapport, le gynécologue et la généraliste qui se sont occupés de Virginie Quirin le jour de son accouchement sont blâmés. L’affaire a aussi été référée au conseil de l’Ordre des Médecins. Le Medical Negligence Standing Committee estime qu’il y a eu des « éléments clairs et sérieux » de mauvaise pratique de la part du médecin (gynécologue) en question.
Quant à l’autre médecin blâmé, une généraliste, le comité estime qu’elle aurait dû avoir montré plus de compassion. Le Medical Negligence Standing Commitee a référé le dossier au Medical Council pour une enquête approfondie. En attendant les conclusions de cette deuxième enquête, le gynécologue a été suspendu de ses fonctions. La généraliste a été mutée à un autre département.