Ce congrès accueille 50 participants, en provenance d’Afrique, d’Europe, de l’océan Indien et de Maurice. Une trentaine de conférences et des rencontres dans les paroisses mauriciennes sont au programme étalé sur 5 jours. Le congrès a pour thème « Bible & Ecologie : Contribution des Biblistes Africains aux questions de l’environnement en Afrique ». Ce que l’on retient de la cérémonie d’ouverture, c’est le discours du cardinal Piat. « Malgré le constat accablant, nous sommes confrontés à la léthargie des décideurs à travers le monde. Nous sommes confrontés à des blocages culturels, politique et économique. Il s’agit d’une crise morale au niveau du monde. Et dans ce contexte, l’histoire de Noé m’interpelle… Dieu appelle Noé à construire une arche. Nous aussi, nous sommes appelés à être des Noé, à nous engager personnellement pour la sauvegarde de la Terre, notre maison commune », a-t-il affirmé.
Le Mgr Raymond Ahoua est revenu sur l’épisode du Wakashio. « Ce fut l’occasion de voir une société civile mobilisée et active pour combattre les effets négatifs de cet accident malheureux. D’un certain point de vue, nous venons parler d’écologie à l’Île Maurice, mais l’Île Maurice a aussi beaucoup de chose à nous apprendre en matière d’engagement pour la sauvegarde de notre ‘maison commune’ », a-t-il déclaré. Quant au ministre Ramano, il a expliqué que « nous devrions tous mettre nos ressources ensemble pour la cause environnementale ». Il a ajouté que « la complexité de la crise écologique exige une approche intégrée et interdisciplinaire pour y faire face ». C’est là que le partenariat est crucial, a-t-il précisé.
Le Mgr Raymond Ahoua est revenu sur l’épisode du Wakashio. « Ce fut l’occasion de voir une société civile mobilisée et active pour combattre les effets négatifs de cet accident malheureux. D’un certain point de vue, nous venons parler d’écologie à l’Île Maurice, mais l’Île Maurice a aussi beaucoup de chose à nous apprendre en matière d’engagement pour la sauvegarde de notre ‘maison commune’ », a-t-il déclaré. Quant au ministre Ramano, il a expliqué que « nous devrions tous mettre nos ressources ensemble pour la cause environnementale ». Il a ajouté que « la complexité de la crise écologique exige une approche intégrée et interdisciplinaire pour y faire face ». C’est là que le partenariat est crucial, a-t-il précisé.