Andrew Winning/REUTERS
L'avis n'est que consultatif, mais il constitue tout de même un camouflet pour le Royaume-Uni.
Le lundi 25 février, la Cour Internationale de Justice (CIJ) de La Haye a estimé que la souveraineté britannique sur l'archipel des Chagos n'est pas fondée en droit, car celui-ci a été séparé de l'île Maurice avant la décolonisation.
«Le Royaume-Uni est tenu, dans les plus brefs délais, de mettre fin à son administration de l'archipel des Chagos, ce qui permettra à l'île Maurice d'achever la décolonisation de son territoire», a déclaré le juge président de la CIJ, Abdulqawi Ahmed Yusuf, dans un avis non contraignant.
La décision a été accueillie par des éclats de joie à Pointe-aux-Sables, Port-Louis, où vivent de nombreux Chagossiens expulsés par les autorités britanniques lors de la construction de la base militaire.
Le lundi 25 février, la Cour Internationale de Justice (CIJ) de La Haye a estimé que la souveraineté britannique sur l'archipel des Chagos n'est pas fondée en droit, car celui-ci a été séparé de l'île Maurice avant la décolonisation.
«Le Royaume-Uni est tenu, dans les plus brefs délais, de mettre fin à son administration de l'archipel des Chagos, ce qui permettra à l'île Maurice d'achever la décolonisation de son territoire», a déclaré le juge président de la CIJ, Abdulqawi Ahmed Yusuf, dans un avis non contraignant.
La décision a été accueillie par des éclats de joie à Pointe-aux-Sables, Port-Louis, où vivent de nombreux Chagossiens expulsés par les autorités britanniques lors de la construction de la base militaire.