Terminée l’ère de la clémence ! Pour continuer à toucher leurs prestations sociales, les Mauriciens bloqués à l’étranger ont jusqu’au 31 janvier 2021 pour rentrer au pays. C’est ce qu’a annoncé Fazila Jeewa-Daureeawoo ce jeudi face à la presse.
Certes, elle a tenté de dorer la pilule pour qu’elle passe mieux. Ces Mauriciens ont amplement le temps, a-t-elle indiqué, précisant que les frontières sont désormais ouvertes. Il faut dire qu’après six mois à l’étranger, les prestations sociales d’une personne éligible est automatiquement coupée. Le gouvernement, en raison de la pandémie, n’a pas appliqué cette mesure. Mais là, que dit Fazila Jeewa Daureeawoo en gros ? Rentrez au pays, payez les milliers de roupies de la quarantaine plus les frais d’hôtels, si vous avez la chance d’avoir un établissement craz-crazé, afin de pouvoir continuer à toucher ces allocations.
Rappelons qu’un total d’environ 2 200 bénéficiaires n’a pu retourner au pays depuis le confinement. Un simple calcul, si l’on prend la somme de Rs 35 000 pour l’hôtel pour passer la quarantaine, nous donne la bagatelle de Rs 77 millions. Si l’on prend les prix de Maradiva, cela donne…
Certes, elle a tenté de dorer la pilule pour qu’elle passe mieux. Ces Mauriciens ont amplement le temps, a-t-elle indiqué, précisant que les frontières sont désormais ouvertes. Il faut dire qu’après six mois à l’étranger, les prestations sociales d’une personne éligible est automatiquement coupée. Le gouvernement, en raison de la pandémie, n’a pas appliqué cette mesure. Mais là, que dit Fazila Jeewa Daureeawoo en gros ? Rentrez au pays, payez les milliers de roupies de la quarantaine plus les frais d’hôtels, si vous avez la chance d’avoir un établissement craz-crazé, afin de pouvoir continuer à toucher ces allocations.
Rappelons qu’un total d’environ 2 200 bénéficiaires n’a pu retourner au pays depuis le confinement. Un simple calcul, si l’on prend la somme de Rs 35 000 pour l’hôtel pour passer la quarantaine, nous donne la bagatelle de Rs 77 millions. Si l’on prend les prix de Maradiva, cela donne…