Autant Dip et Jugnauth ont peut-être raison de ne pas apprécier la décision du DPP mais en exposant leur désaccord en public, n’accordent-t-il pas foi à Sun Tv News qui avait fait de viles attaques contre le judiciaire et le DPP ? En répétant ses propos Pravind Jugnauth n’a-t-il pas donné crédibilité à Sun Tv News ou autres plateformes du parti Soleil qui attaquent et diffament ?
Ce mardi 7 mars, Pravind Jugnauth a encore une fois critiqué le directeur des poursuites publiques. Le Premier ministre en a profité, lors d’une séance de questions-réponses, pour remettre une couche sur le DPP… sans le citer évidemment. « Je trouve choquant que certaines décisions prises semblent favoriser le trafic de drogue au lieu de le combattre », a-t-il déclaré. Juste avant, il a déclaré qu’il ne voit pas que la loi est appliquée correctement : «La lwa pa pe aplike kouma bizin». Et Pravind Jugnauth de souligner qu’il ne parle pas seulement en tant que chef du gouvernement mais aussi comme avocat. « J'analyse les jugements. J’interprète les décisions prises comme si l’on aidait la mafia », a-t-il souligné.
Rappelons qu’il vise carrément le directeur des poursuites. Sur Bruneau Laurette, Pravind Jugnauth a donné un coup de griffe… encore une fois sans citer de nom. « Je suis étonné par l’ampleur de la drogue. Il y a des personnes dont on n’aurait jamais pensé qu’elles étaient impliquées dans le trafic de drogue. Mais pour moi, personne n’a d’immunité. Même pas des politiciens. Tout un chacun doit respecter la loi », a-t-il affirmé.
Dans cette cacophonie, en véritable pyromane, le Premier ministre a lancé un défi aux journalistes pour que ces derniers fassent la comparaison entre lui et les autres leaders, concernant le sens de la moralité. Ce ne sont pas les journalistes qui lui ont répondu mais les internautes. Dans un bras de fer ou doigt d'honneur, la photo de son épouse Kobita Jugnauth et l'ancien ami intime et ex CEO de Mauritius Telecom Sherry Singh a refait surface. De fortes allégations circuleraient également concernant une de leurs filles à côté d'un certain T.G, gros fêtard et consommateur de drogues illicites. L'affaire Franklin risque de détruire bien des réputations... Et à en croire une vidéo mise sous cloche, des images compromettantes sont également disponible. A force de jouer au pyromane, Lakwisin risque de brûler !
Le Premier ministre martèle à qui veut l'entendre, qu'il lui faut protéger sa famille, femme et enfants. Et c'est tout à fait légitime et tout à son honneur. Pourtant, Pravind Jugnauth, ne cesse d'attaquer au dessous de la ceinture la vie privée de ses adversaires politique tout en se mettant au dessous de la mêlée. Jusqu'à faire référence à l'épisode "Macarena" des années 2000 devant un parterre de femmes à l'occasion de la journée internationale à Pailles, sous les applaudissements nourris de la ministre Kalpanh Koonkoo-Shah.
Cette diarrhée verbale de Pravind Jugnauth ne date pas d'hier.
« Eski nou pou oule ki nou gagn enn PM makarena. Eski zot le si zot tifi ou madam li oule aspire a enn travay li bizin al dans kampman, li bizin al fer enn interview laba. Nou finn kone sa dan le passe. Ena dimoun inn servi pozision pou abiz de ban zen fi ek madam. Nou trouve ki manier kan mikro pa marse, enn lider enn parti politik adres enn mo a legar de so enn depute madam. Eski sa kalite dimoun la nou souhaite vinn a la tet nou pei ? ».
Le 11 octobre 2018 , Pravind Jugnauth déclarait : "Mo pas passe mo letemps nek pé piké même, ni pompé kuma ene la cheminée, gramatin ziska tanto"... «amizé ou soit tap djembé et fer madam touss sali, al kanpman trwa-zer dimatin».
Lors du meeting du 1er mai 2019, son discours était sans équivoque. Dans une salve de sous-entendus, il s'en est pris à un rédacteur en chef d'un quotidien alors que la justice a prouvé son innocence. Puis le grand "défenseur des femmes" a interpellé la foule avec ses mots : «Pran tou ban dirigeants, ban leader de ban parti politik ki ena aspiration pou vine Premier minis. Nek pense ene kou sak madam ki ici, si met ou, ou tifi tou sel dan ene la sam ar sak leader de ban parti politik là, dir mwa avec kisanla ou pou pli santi ou pli en sekirite ? Dir mwa ! Mo laisse sa repons la pou zotte».
Ce mardi 7 mars, Pravind Jugnauth a encore une fois critiqué le directeur des poursuites publiques. Le Premier ministre en a profité, lors d’une séance de questions-réponses, pour remettre une couche sur le DPP… sans le citer évidemment. « Je trouve choquant que certaines décisions prises semblent favoriser le trafic de drogue au lieu de le combattre », a-t-il déclaré. Juste avant, il a déclaré qu’il ne voit pas que la loi est appliquée correctement : «La lwa pa pe aplike kouma bizin». Et Pravind Jugnauth de souligner qu’il ne parle pas seulement en tant que chef du gouvernement mais aussi comme avocat. « J'analyse les jugements. J’interprète les décisions prises comme si l’on aidait la mafia », a-t-il souligné.
Rappelons qu’il vise carrément le directeur des poursuites. Sur Bruneau Laurette, Pravind Jugnauth a donné un coup de griffe… encore une fois sans citer de nom. « Je suis étonné par l’ampleur de la drogue. Il y a des personnes dont on n’aurait jamais pensé qu’elles étaient impliquées dans le trafic de drogue. Mais pour moi, personne n’a d’immunité. Même pas des politiciens. Tout un chacun doit respecter la loi », a-t-il affirmé.
Dans cette cacophonie, en véritable pyromane, le Premier ministre a lancé un défi aux journalistes pour que ces derniers fassent la comparaison entre lui et les autres leaders, concernant le sens de la moralité. Ce ne sont pas les journalistes qui lui ont répondu mais les internautes. Dans un bras de fer ou doigt d'honneur, la photo de son épouse Kobita Jugnauth et l'ancien ami intime et ex CEO de Mauritius Telecom Sherry Singh a refait surface. De fortes allégations circuleraient également concernant une de leurs filles à côté d'un certain T.G, gros fêtard et consommateur de drogues illicites. L'affaire Franklin risque de détruire bien des réputations... Et à en croire une vidéo mise sous cloche, des images compromettantes sont également disponible. A force de jouer au pyromane, Lakwisin risque de brûler !
Le Premier ministre martèle à qui veut l'entendre, qu'il lui faut protéger sa famille, femme et enfants. Et c'est tout à fait légitime et tout à son honneur. Pourtant, Pravind Jugnauth, ne cesse d'attaquer au dessous de la ceinture la vie privée de ses adversaires politique tout en se mettant au dessous de la mêlée. Jusqu'à faire référence à l'épisode "Macarena" des années 2000 devant un parterre de femmes à l'occasion de la journée internationale à Pailles, sous les applaudissements nourris de la ministre Kalpanh Koonkoo-Shah.
Cette diarrhée verbale de Pravind Jugnauth ne date pas d'hier.
« Eski nou pou oule ki nou gagn enn PM makarena. Eski zot le si zot tifi ou madam li oule aspire a enn travay li bizin al dans kampman, li bizin al fer enn interview laba. Nou finn kone sa dan le passe. Ena dimoun inn servi pozision pou abiz de ban zen fi ek madam. Nou trouve ki manier kan mikro pa marse, enn lider enn parti politik adres enn mo a legar de so enn depute madam. Eski sa kalite dimoun la nou souhaite vinn a la tet nou pei ? ».
Le 11 octobre 2018 , Pravind Jugnauth déclarait : "Mo pas passe mo letemps nek pé piké même, ni pompé kuma ene la cheminée, gramatin ziska tanto"... «amizé ou soit tap djembé et fer madam touss sali, al kanpman trwa-zer dimatin».
Lors du meeting du 1er mai 2019, son discours était sans équivoque. Dans une salve de sous-entendus, il s'en est pris à un rédacteur en chef d'un quotidien alors que la justice a prouvé son innocence. Puis le grand "défenseur des femmes" a interpellé la foule avec ses mots : «Pran tou ban dirigeants, ban leader de ban parti politik ki ena aspiration pou vine Premier minis. Nek pense ene kou sak madam ki ici, si met ou, ou tifi tou sel dan ene la sam ar sak leader de ban parti politik là, dir mwa avec kisanla ou pou pli santi ou pli en sekirite ? Dir mwa ! Mo laisse sa repons la pou zotte».
