@ GIS Mauritius
La ministre de l’Éducation était face à la presse hier. Son but était de donner des explications sur la façon dont le gouvernement allait amener la gratuité du préscolaire.
Il y a eu quelques explications certes. Mais il faut dire que l’on n’est pas tellement avancé. Le bon côté, c’est que le gouvernement est désormais conscient de l’importance du préscolaire. C’est un bon début.
Leela Devi Dookun-Luchoomun a expliqué que 23 000 élèves vont bénéficier de cette mesure. « Chaque sou dépensé pour le préscolaire nous rapporte beaucoup plus tard », a-t-elle expliqué. La ministre a ajouté qu’il existe 480 écoles préscolaires au sein de la République de Maurice. Ce que propose le gouvernement, c’est de permettre aux élèves qui n’ont pas la possibilité de fréquenter une institution préscolaire de le faire. Cela, à travers un système de grant-in-aid.
C'est-à-dire que l’État va prendre en charge les salaires du personnel des établissements préscolaires, enseignant comme non-enseignant, ainsi que le coût des opérations. Cela, sur un nombre de critères établis, notamment le nombre d’élèves. Elle a ainsi invité les établissements à se joindre à ce système. Elle a aussi indiqué qu’un budget pour le préscolaire avait déjà été travaillé. « Nous voulons l’augmenter. Et pour tout ce que nous avons prévu, nous avons reçu l’aval du ministère des Finances », a-t-elle précisé.
Il y a eu quelques explications certes. Mais il faut dire que l’on n’est pas tellement avancé. Le bon côté, c’est que le gouvernement est désormais conscient de l’importance du préscolaire. C’est un bon début.
Leela Devi Dookun-Luchoomun a expliqué que 23 000 élèves vont bénéficier de cette mesure. « Chaque sou dépensé pour le préscolaire nous rapporte beaucoup plus tard », a-t-elle expliqué. La ministre a ajouté qu’il existe 480 écoles préscolaires au sein de la République de Maurice. Ce que propose le gouvernement, c’est de permettre aux élèves qui n’ont pas la possibilité de fréquenter une institution préscolaire de le faire. Cela, à travers un système de grant-in-aid.
C'est-à-dire que l’État va prendre en charge les salaires du personnel des établissements préscolaires, enseignant comme non-enseignant, ainsi que le coût des opérations. Cela, sur un nombre de critères établis, notamment le nombre d’élèves. Elle a ainsi invité les établissements à se joindre à ce système. Elle a aussi indiqué qu’un budget pour le préscolaire avait déjà été travaillé. « Nous voulons l’augmenter. Et pour tout ce que nous avons prévu, nous avons reçu l’aval du ministère des Finances », a-t-elle précisé.