Ainsi, l’avocat Panglose a jusqu’au lundi 18 juillet pour soumettre ses questions reformulées. Le petit Jacques voulait deux semaines supplémentaires. Que nenni ! Le duo de juges veut que l’affaire soit mise en force avant fin juillet et pourra donc être fixée pour être écoutée. On ne badine plus !
Rappelons que lundi matin, les diverses parties concernées par la pétition électorale de Richard Payendee et Jean-Noël Samoisy ont répondu à des demandes d’éclaircissement de Me Jacques Panglose. Mais ce dernier n’est pas satisfait des réponses. Après échanges, les deux juges lui ont demandé de reformuler ses questions. Mais il avait jusqu’à lundi prochain, soit le 18 juillet, pour le faire. C’est là qu’il s’est fait taper sur les doigts.
appelons que la première contre-offensive du chef commissaire de Rodrigues a échoué. Ses contre-missiles n’ont pas atteint leur but. La pétition électorale de Richard Payendee et Jean Noël Samoisy sera bel et bien écoutée par la cour suprême. C’était la conclusion d’un premier jugement, rendu par les juges Gaitree Jagessur-Manna et Denis Mootoo, il y a deux semaines. Ils ont rejeté l’application de Johnson Roussety qui demandait le rejet de la pétition électorale ou, le cas échéant, la modification de plusieurs paragraphes. Il n’a rien obtenu. Notons que Richard Payendee et Jean Noël Samoisy, candidats battus de l’OPR dans la région 5, soit Port Mathurin, réclament l’annulation de l’élection de Johnson Roussety. Ils soutiennent que le chef commissaire n’était pas à Maurice durant les 6 mois précédents le Nomination Day. C’est un critère légal. En effet, Roussety se trouvait en Australie où il bossait comme chargé de cours dans une université. Il avait quitté Rodrigues le 14 mars 2021 et était revenu au pays en janvier 2022. Dans la pétition électorale, Payendee et Samoisy demandent que Louis Ange Perrine, colistier de Roussety, soit déclaré élu en tête de liste et que Jean Noël Samoisy soit déclaré deuxième élu de cette région. S’ils ont de grandes chances de faire tomber Roussety, il n’est pas certain que la cour ordonne de facto l’élection d’une personne. Il est plus que probable qu’elle ordonne une partielle.
Rappelons que lundi matin, les diverses parties concernées par la pétition électorale de Richard Payendee et Jean-Noël Samoisy ont répondu à des demandes d’éclaircissement de Me Jacques Panglose. Mais ce dernier n’est pas satisfait des réponses. Après échanges, les deux juges lui ont demandé de reformuler ses questions. Mais il avait jusqu’à lundi prochain, soit le 18 juillet, pour le faire. C’est là qu’il s’est fait taper sur les doigts.
appelons que la première contre-offensive du chef commissaire de Rodrigues a échoué. Ses contre-missiles n’ont pas atteint leur but. La pétition électorale de Richard Payendee et Jean Noël Samoisy sera bel et bien écoutée par la cour suprême. C’était la conclusion d’un premier jugement, rendu par les juges Gaitree Jagessur-Manna et Denis Mootoo, il y a deux semaines. Ils ont rejeté l’application de Johnson Roussety qui demandait le rejet de la pétition électorale ou, le cas échéant, la modification de plusieurs paragraphes. Il n’a rien obtenu. Notons que Richard Payendee et Jean Noël Samoisy, candidats battus de l’OPR dans la région 5, soit Port Mathurin, réclament l’annulation de l’élection de Johnson Roussety. Ils soutiennent que le chef commissaire n’était pas à Maurice durant les 6 mois précédents le Nomination Day. C’est un critère légal. En effet, Roussety se trouvait en Australie où il bossait comme chargé de cours dans une université. Il avait quitté Rodrigues le 14 mars 2021 et était revenu au pays en janvier 2022. Dans la pétition électorale, Payendee et Samoisy demandent que Louis Ange Perrine, colistier de Roussety, soit déclaré élu en tête de liste et que Jean Noël Samoisy soit déclaré deuxième élu de cette région. S’ils ont de grandes chances de faire tomber Roussety, il n’est pas certain que la cour ordonne de facto l’élection d’une personne. Il est plus que probable qu’elle ordonne une partielle.