L’oisiveté est mère de tous les vices, dit-on. Les anciens parlementaires en sont conscients. Ils en avaient donc un peu mare de rester chez eux en se tournant les pouces et profiter de la grosse pension d’ancien élu que chacun perçoit.
D’autant, selon eux, que la démocratie est en danger. Ainsi, ces anciens parlementaires, qui avaient repris goût au coaltar dans le cadre de la suspension d’Arvin Boolell, ont décidé d’agir. Ils viennent de lancer la Parliamentary Democracy Foundation. Notons que la plupart sont d’anciens MSM, dans nombre de cas passés autrefois par la case MSM. Et ils sont tous travaillistes ou pro-Labour aujourd’hui.
Ainsi, Bashir Khodabux est le président de la fondation. Il est épaulé par Sheila Bappoo, tandis Parsu, soit Armoogum Parsuramen, est le Chief Executive Officer. Alain Laridon aussi a un rôle dans la formation. Bref, les papys font de la résistance. Selon Armoogum Parsuramen et Bashir Khodabux, l’objectif est de « rajeunir la politique ». Mais ils insistent qu’il ne faut pas rajeunir par le simple fait de rajeunir. Non. Il faut des jeunes capables, qui savent ce qu’ils disent et font surtout.
D’autant, selon eux, que la démocratie est en danger. Ainsi, ces anciens parlementaires, qui avaient repris goût au coaltar dans le cadre de la suspension d’Arvin Boolell, ont décidé d’agir. Ils viennent de lancer la Parliamentary Democracy Foundation. Notons que la plupart sont d’anciens MSM, dans nombre de cas passés autrefois par la case MSM. Et ils sont tous travaillistes ou pro-Labour aujourd’hui.
Ainsi, Bashir Khodabux est le président de la fondation. Il est épaulé par Sheila Bappoo, tandis Parsu, soit Armoogum Parsuramen, est le Chief Executive Officer. Alain Laridon aussi a un rôle dans la formation. Bref, les papys font de la résistance. Selon Armoogum Parsuramen et Bashir Khodabux, l’objectif est de « rajeunir la politique ». Mais ils insistent qu’il ne faut pas rajeunir par le simple fait de rajeunir. Non. Il faut des jeunes capables, qui savent ce qu’ils disent et font surtout.