La police mauricienne a initié une enquête dès qu’elle a appris qu’un autre hors-bord enregistré à Maurice a été retrouvé à Saint Benoit.
Soulignons que dans les heures suivant la découverte de la vedette par les autorités réunionnaises, le propriétaire de l’embarcation a porté plainte pour vol. Il a été arrêté. Il en est de même pour l’ancien propriétaire. Apparemment, certains éléments ne collent pas. En fait, la transaction pour la vente est bizarre.
Soulignons que les occupants du hors-bord, s’il s’agit de Mauriciens, ont eu plus de chances que leurs compatriotes dont l’embarcation s’était également échouée il y a quelques semaines à l’Anse des Cascades. Ils avaient été rapidement retracés par les autorités réunionnaises. Cette fois, les occupants courent toujours. Notons qu’aucun élément ne prouvent jusqu’ici que l’échouage découle d’un éventuel trafic de cannabis. Mais on voit mal un skipper mauricien prendre un hors-bord et se rendre à Saint Benoit pour aller faire copain copain avec des Réunionnais… quand bien même ces derniers seraient charmants. Peut-être que des dispositifs d’urgence ont été mis en place par ceux qui gèrent ce trafic après la catastrophe de la dernière fois. Comme quoi, les trafiquants, contrairement aux politiciens, apprennent plus rapidement de leurs erreurs.
Soulignons que dans les heures suivant la découverte de la vedette par les autorités réunionnaises, le propriétaire de l’embarcation a porté plainte pour vol. Il a été arrêté. Il en est de même pour l’ancien propriétaire. Apparemment, certains éléments ne collent pas. En fait, la transaction pour la vente est bizarre.
Soulignons que les occupants du hors-bord, s’il s’agit de Mauriciens, ont eu plus de chances que leurs compatriotes dont l’embarcation s’était également échouée il y a quelques semaines à l’Anse des Cascades. Ils avaient été rapidement retracés par les autorités réunionnaises. Cette fois, les occupants courent toujours. Notons qu’aucun élément ne prouvent jusqu’ici que l’échouage découle d’un éventuel trafic de cannabis. Mais on voit mal un skipper mauricien prendre un hors-bord et se rendre à Saint Benoit pour aller faire copain copain avec des Réunionnais… quand bien même ces derniers seraient charmants. Peut-être que des dispositifs d’urgence ont été mis en place par ceux qui gèrent ce trafic après la catastrophe de la dernière fois. Comme quoi, les trafiquants, contrairement aux politiciens, apprennent plus rapidement de leurs erreurs.
