Maurice a encore beaucoup de mal à se débarrasser de sa mauvaise réputation dans le secteur financier.
Les autorités indiennes considèrent toujours la juridiction mauricienne comme ayant des lacunes. Elle est toujours considérée comme étant à haut risque pour les investisseurs indiens. Le fait d’avoir été enlevé des listes noire, rouge ou grenat n’y change rien. Le secteur financier mauricien n’inspire toujours pas confiance. Du moins, pas totalement.
Selon un site d’info indien, plusieurs banques dépositaires internationales ont classé l'île Maurice comme une "juridiction à haut risque" pour les investissements indiens. Cela, d’autant que des fonds étrangers basés à Maurice détiennent des titres indiens (c’est-à-dire la dette et les actions) valant 3,4 trillions de roupies (indiennes). Pour faire court, après l’affaire Adani, ces banques dépositaires ont relevé le niveau de risque de Maurice. Rappelons que la méfiance des régulateurs indiens à l’égard des investisseurs basés à Maurice n’a jamais diminué.
Les autorités indiennes considèrent toujours la juridiction mauricienne comme ayant des lacunes. Elle est toujours considérée comme étant à haut risque pour les investisseurs indiens. Le fait d’avoir été enlevé des listes noire, rouge ou grenat n’y change rien. Le secteur financier mauricien n’inspire toujours pas confiance. Du moins, pas totalement.
Selon un site d’info indien, plusieurs banques dépositaires internationales ont classé l'île Maurice comme une "juridiction à haut risque" pour les investissements indiens. Cela, d’autant que des fonds étrangers basés à Maurice détiennent des titres indiens (c’est-à-dire la dette et les actions) valant 3,4 trillions de roupies (indiennes). Pour faire court, après l’affaire Adani, ces banques dépositaires ont relevé le niveau de risque de Maurice. Rappelons que la méfiance des régulateurs indiens à l’égard des investisseurs basés à Maurice n’a jamais diminué.
