Photo illustration.
Des centaines de millions de roupies détournées !
C’est ainsi que l’on pourrait résumer le Youth Employment Programme, destiné à accroire l’embauche de jeunes qui quittent l’école.
Ce programme aurait été détourné par plusieurs compagnies qui touchaient de grosses sommes sans pour autant employer des jeunes universitaires.
L’Icac enquête actuellement sur cette affaire. Ainsi une entreprise pouvait employer pendant une année des jeunes dont le salaire était financé à 50% par le Human Ressource Development Council.
Au bout de 12 mois, la firme devait soit employer le jeune qui aurait été formé ou alors le perdre. Pour bénéficier de cette facilité, la firme devait être enregistrée auprès du HRDC. Ce qui était une formalité.
Ainsi, des compagnies présentaient régulièrement des factures à l’organisme alors que les emplois en question étaient fictifs, c’est-à-dire que les jeunes employés dont les noms figuraient sur les documents n’ont jamais travaillé pour les entreprises en question.
Les enquêteurs trouvent étrange le fait que la direction du Human Ressource Development Council ait déboursé de l’argent avec autant de facilité.
Apparemment, même un chargé de cours à l’Université de Maurice est dans le collimateur de l’Icac. L’Icac estime qu’une telle fraude n’aurait pas été possible sans complicité interne au sein de l’organisme.
C’est ainsi que l’on pourrait résumer le Youth Employment Programme, destiné à accroire l’embauche de jeunes qui quittent l’école.
Ce programme aurait été détourné par plusieurs compagnies qui touchaient de grosses sommes sans pour autant employer des jeunes universitaires.
L’Icac enquête actuellement sur cette affaire. Ainsi une entreprise pouvait employer pendant une année des jeunes dont le salaire était financé à 50% par le Human Ressource Development Council.
Au bout de 12 mois, la firme devait soit employer le jeune qui aurait été formé ou alors le perdre. Pour bénéficier de cette facilité, la firme devait être enregistrée auprès du HRDC. Ce qui était une formalité.
Ainsi, des compagnies présentaient régulièrement des factures à l’organisme alors que les emplois en question étaient fictifs, c’est-à-dire que les jeunes employés dont les noms figuraient sur les documents n’ont jamais travaillé pour les entreprises en question.
Les enquêteurs trouvent étrange le fait que la direction du Human Ressource Development Council ait déboursé de l’argent avec autant de facilité.
Apparemment, même un chargé de cours à l’Université de Maurice est dans le collimateur de l’Icac. L’Icac estime qu’une telle fraude n’aurait pas été possible sans complicité interne au sein de l’organisme.
