C’est à Triolet, vendredi soir, que Pravind Jugnauth a commenté pour la première fois le rejet de la pétition électorale de Suren Dayal, qui contestait son élection ainsi que celles de Leela Devi Dookun-Luchoomun et Yogida Sawmynaden. « C’est une claque terrible qu’ils ont reçue. Ils croyaient que la cour allait casser l’élection de Pravind Jugnauth et ses colistiers. Mais la cour a rejeté toutes leurs allégations », a-t-il déclaré.
Pravind Jugnauth a aussi, tout au long de son discours, critiqué la presse, plus particulièrement l’express, mais aussi Le Mauricien. « L’express et Le Mauricien m’avaient déjà condamné. Mais ils ne sont pas une cour de justice. Néanmoins, j’espère qu’ils vont avoir la décence de respecter le verdict de la justice », a-t-il déclaré. Et Pravind Jugnauth d’ajouter que c’est en cour qu’il va parler. Il a aussi rappelé que toutes les pétitions qui ont été écoutées ont été rejetées. « La cour a trouvé qu’il n’y a aucune substance. D’ailleurs, même lorsqu’il y a eu recount, l’élection d’Ivan Collendavelloo a été confirmée », a-t-il souligné.
Le chef du gouvernement a aussi dénoncé non seulement une alliance entre des politiciens mais aussi une alliance entre des politiques et la presse écrite et parlée. « Ils se sont tous regroupés. J’appelle cela une mafia. Ils sont ensemble et coordonnent leurs actions. Mais la vérité vaincra toujours », a-t-il déclaré.
Pravind Jugnauth a aussi, tout au long de son discours, critiqué la presse, plus particulièrement l’express, mais aussi Le Mauricien. « L’express et Le Mauricien m’avaient déjà condamné. Mais ils ne sont pas une cour de justice. Néanmoins, j’espère qu’ils vont avoir la décence de respecter le verdict de la justice », a-t-il déclaré. Et Pravind Jugnauth d’ajouter que c’est en cour qu’il va parler. Il a aussi rappelé que toutes les pétitions qui ont été écoutées ont été rejetées. « La cour a trouvé qu’il n’y a aucune substance. D’ailleurs, même lorsqu’il y a eu recount, l’élection d’Ivan Collendavelloo a été confirmée », a-t-il souligné.
Le chef du gouvernement a aussi dénoncé non seulement une alliance entre des politiciens mais aussi une alliance entre des politiques et la presse écrite et parlée. « Ils se sont tous regroupés. J’appelle cela une mafia. Ils sont ensemble et coordonnent leurs actions. Mais la vérité vaincra toujours », a-t-il déclaré.