Une bêtise et une salle d’hôpital devient prison pour patients et personnel soignant. L’hôpital, c’est celui de Victoria, à Candos. La salle, c’est le no 15. La salle de 15 de l’hôpital en question avait, samedi, une trentaine de patients qui y étaient admis. Une douzaine de membres de personnel soignant y étaient affectés.
Le hic, c’est que deux patients positifs à la Covid-19, en provenance de l’hôpital ENT, y ont été admis ce fameux samedi. Les deux patients devaient se faire traiter pour des soucis médicaux qui n’avaient rien à voir avec la Covid-19. Ils auraient dû être admis dans une salle d’isolement, selon le protocole.
Comment se fait-il qu’ils se sont retrouvés dans une salle normale ? Question qu’une enquête devra répondre. En plus, le problème n’a été constaté que lorsqu’un médecin a demandé à voir les résultats des tests PCR des deux patients. Ils étaient évidemment positifs.
Dès lors, un vent de panique a soufflé sur l’hôpital, surtout la salle 15. Elle a été immédiatement transformée en salle d’isolement, soit une prison pour tous les patients qui s’y trouvaient, ainsi que les membres du personnel. Quelques-uns ont cependant demandé à être envoyés ailleurs pour la quarantaine. À ce rythme et à force de commettre des bêtises, il n'y aura bientôt plus de personnel soignant dans les établissements de santé.
Le hic, c’est que deux patients positifs à la Covid-19, en provenance de l’hôpital ENT, y ont été admis ce fameux samedi. Les deux patients devaient se faire traiter pour des soucis médicaux qui n’avaient rien à voir avec la Covid-19. Ils auraient dû être admis dans une salle d’isolement, selon le protocole.
Comment se fait-il qu’ils se sont retrouvés dans une salle normale ? Question qu’une enquête devra répondre. En plus, le problème n’a été constaté que lorsqu’un médecin a demandé à voir les résultats des tests PCR des deux patients. Ils étaient évidemment positifs.
Dès lors, un vent de panique a soufflé sur l’hôpital, surtout la salle 15. Elle a été immédiatement transformée en salle d’isolement, soit une prison pour tous les patients qui s’y trouvaient, ainsi que les membres du personnel. Quelques-uns ont cependant demandé à être envoyés ailleurs pour la quarantaine. À ce rythme et à force de commettre des bêtises, il n'y aura bientôt plus de personnel soignant dans les établissements de santé.